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Actualités

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La création de la réserve naturelle à Saint-Augustin voit le jour grâce à un projet d'études en foresterie

08 octobre 2015

L'Université, qui est propriétaire de la Station agronomique de Saint-Augustin (SASA), a fait classer, au cours de la dernière année, une partie du site en réserve naturelle. Cette appellation désigne un milieu naturel privé que le gouvernement du Québec reconnaît légalement comme aire protégée, conformément à la Loi sur la conservation du patrimoine naturel, afin d'en assurer la conservation. Le secteur protégé, qui couvre 13,66 hectares de boisés, est consacré à l'enseignement et à la recherche. 

Fait particulier, c'est à une étudiante du baccalauréat en aménagement et environnement forestiers, Amélie Denoncourt, que l'on doit la création de la réserve naturelle. Encadrée par Louis Bélanger, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt, elle a produit un rapport de 90 pages qui met en lumière l'importance de protéger ces terres. Ce document répertorie plusieurs espèces floristiques et fauniques menacées ou susceptibles de l'être. C'est le cas, entre autres, de la chauve-souris argentée, du faucon pèlerin et du hibou des marais. Du côté de la végétation, on retrouve la cicutaire de Victorin, l'arisème dragon et le noyer cendré. «Il y a, dans ces boisés, une quarantaine d'espèces vulnérables, sans compter le bassin versant d'une petite rivière qui représente un autre enjeu de conservation. Des écosystèmes avec une telle biodiversité se font de plus en plus rares. C'est pourquoi j'ai proposé de protéger ce secteur», explique l'étudiante, qui a passé au peigne fin la législation en matière de préservation.

Lire l'article complet dans Le Fil, journal de la communauté universitaire

crédit photo: Martine Lapointe

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Nouvelle parution de l'Arbritibi, journal des étudiants en foresterie, géographie et environnement

06 octobre 2015

La première parution de l'année 2015-2016 est maintenant disponible. Vous pouvez consulter la version en ligne . En ce qui concerne la parution du mois actuel, nous osons espérer que vous y trouverez de quoi vous informer, vous divertir, vous détendre.  Certains furent inspirés par leurs virées à travers le Québec.  ou l'Inde. Clara  quant  à elle  s'est penchée  sur un  enjeu  social  forestier  qui  a  piqué  sa  curiosité  :  le  conflit  concernant  la certification FSC au Lac-Saint-Jean. Maxime Fiset vous invite à réfléchir sur l'urbanisation et Viengxay sur la vie. N'oublions pas Élise qui nous écrit en direct de l'Université de la Colombie Britanique pour nous partager son expérience!

Finalement, nous sommes toujours à la recherche d'étudiants intéressés à s'impliquer dans le comité qui compte actuellement 4 personnes. Nous sommes à la recherche de photographes, de bédéistes, de rédacteurs, de correcteurs, etc. Intéressé(e)? Viens nous voir!

Le comité de L'Arbritibi, votre journal étudiant

Pour tout commentaire ou nous proposer un article, n'hésitez pas à nous contacter par courriel (larabitibi@ffgg.ulaval.ca) ou via notre page Facebook (www.facebook.com/larbribi) !

Retrouvez également les versions électroniques du journal sur notre site internet. larbritibi@ffgg.ulaval.ca 

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Des professeurs de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique se démarquent!

02 octobre 2015

Trois professeurs de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique ont obtenu différentes reconnaissances pour leurs accomplissements. Par leurs travaux, leur contribution et leur passion, ils ont chacun à leur façon fait rayonner nos secteurs.

M. Michel Beaudoin, professeur retraité du Département des sciences du bois et de la forêt nommé Professeur émérite de l’Université Laval, le jeudi 24 septembre 2015

Si l'Université offre le seul programme de baccalauréat coopératif en génie du bois au Québec, c'est grâce à lui. Pendant plus de trente ans, M. Michel Beaudoin a développé, puis dirigé ce programme. Sa passion pour le secteur forestier a aussi donné naissance à un important partenariat de recherche avec Forintek (maintenant FPInnovations). Comme si ce n'était pas assez, il a occupé différentes fonctions de gestion au sein de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique.

M. Éric Bauce, vice-recteur exécutif et au développement ainsi que professeur au Département des sciences du bois et de la forêt nommé Ingénieur forestier de l’année par l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec, le jeudi 24 septembre 2015

Le titre d’Ingénieur forestier de l’année est décerné à un membre de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec pour souligner sa contribution exceptionnelle au développement et à la promotion de la profession d’ingénieur forestier. Le ou la récipiendaire a accompli un acte méritoire remarquable dans les sphères d’activités de la profession au cours des 24 derniers mois. Cette année, l’Ordre a choisi de décerner le titre d’Ingénieur forestier de l’année à M. Éric Bauce, ing.f., Ph.D.

En novembre dernier, un groupe de chercheurs, incluant M. Bauce, a publié une découverte majeure pour la protection des forêts, soit la découverte d’un gène de résistance à la tordeuse des bourgeons de l’épinette dans le génome de l’épinette blanche. Cette découverte signifie qu’on pourrait créer des peuplements d’épinettes blanches présentant une moins grande vulnérabilité à la tordeuse. En mars dernier, M Bauce a reçu un doctorat honorifique en sciences et technologie de l’Université de Bordeaux afin de souligner sa contribution exceptionnelle à l’entomologie et son implication dans les campus durables. Le laboratoire d’entomologie de l’Université Laval dirigé par M. Bauce est le plus important centre de recherche sur l’alimentation des insectes en Amérique du Nord. M. Bauce a également un dossier de publications fort imposant : il est auteur ou coauteur de plus de 300 articles, dont près de 150 dans des journaux scientifiques avec comité de lecture.

Malgré son emploi du temps très chargé en tant que vice-recteur exécutif et au développement de l’Université Laval, M. Bauce a maintenu ses activités d’enseignement et de recherche. Il continue donc de contribuer à la formation de la relève à notre profession.

M. Michel Allard, professeur au Département de géographie récipiendaire la Médaille polaire décernée par le Gouverneur général du Canada, le 8 juillet 2015, à Whitehorse

M. Michel Allard, professeur au Département de géographie et chercheur au Centre d'études nordiques, est l'un des récipiendaires de la Médaille polaire décernée par le Gouverneur général du Canada. Remise pour la première fois cette année, cette distinction récompense les personnes qui ont accru de façon marquante la compréhension des communautés nordiques du Canada et de leurs habitants ou qui se sont employées à en faire la promotion. Depuis 1975, M. Michel Allard étudie les répercussions de la fonte du pergélisol sur l'environnement naturel et sur les infrastructures nordiques, au Nunavik et au Nunavut. Ses travaux ont aussi porté sur la vulnérabilité des communautés inuites du Nunavut au réchauffement climatique et sur l'élaboration de stratégies d'adaptation.

Encore une fois, félicitations à tous!

La direction de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique.

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Éric Bauce nommé ingénieur forestier de l'année

02 octobre 2015

Le titre d’« Ingénieur forestier de l’année » est décerné à un membre pour souligner sa contribution exceptionnelle au développement et à la promotion de la profession d’ingénieur forestier. Le ou la récipiendaire a accompli un acte méritoire remarquable dans les sphères d’activités de la profession au cours des 24 derniers mois. 

Cette année, l’Ordre a choisi de décerner le titre d’« Ingénieur forestier de l’année » à monsieur Éric Bauce, ing.f., Ph.D.

En novembre dernier, un groupe de chercheurs, incluant M. Bauce, a publié une découverte majeure pour la protection des forêts, soit la découverte d’un gène de résistance à la tordeuse des bourgeons de l’épinette dans le génome de l’épinette blanche. Cette découverte signifie qu’on pourrait créer des peuplements d’épinettes blanches présentant une moins grande vulnérabilité à la tordeuse.

En mars dernier, M Bauce a reçu un doctorat honorifique en sciences et technologie de l’Université de Bordeaux afin de souligner sa contribution exceptionnelle à l’entomologie et son implication dans les campus durables. Le laboratoire d’entomologie de l’Université Laval dirigé par M. Bauce est le plus important centre de recherche sur l’alimentation des insectes en Amérique du Nord. M. Bauce a également un dossier de publications fort imposant : il est auteur ou coauteur de plus de 300 articles, dont près de 150 dans des journaux scientifiques avec comité de lecture.

Malgré son emploi du temps très chargé en tant que vice-recteur exécutif et au développement de l’Université Laval, M. Bauce a maintenu ses activités d’enseignement et de recherche. Il continue donc de contribuer à la formation de la relève à notre profession.

C’est donc avec grand plaisir que l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec remet à M. Bauce la «Distinction d’ingénieur forestier de l’année» 2015.

Source et crédit photo: OIFQ

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Les constructions en bois

02 octobre 2015

L'utilisation du bois permet de réduire l'empreinte écologique des bâtiments et minimise les émissions de gaz à effet de serre. Depuis quelques années, de nouveaux bâtiments du campus font une place importante au bois dans leur construction. L'utilisation du bois permet de réduire l'empreinte écologique des bâtiments et minimise les émissions de gaz à effet de serre. En effet, le bois est un matériau durable, non polluant, non toxique, renouvelable et, de plus, esthétique. 

D'ailleurs, plusieurs centres de recherche du campus s'intéressent à la présence du bois dans la construction, notamment le Centre de recherche sur les matériaux renouvelables (CRMR) et la Chaire industrielle de recherche du CRSNG sur la construction écoresponsable en bois (CIRCERB). Les pavillons Gene-H.-Kruger, le stade TELUS-Université Laval et le PEPS – que ce soit pour leurs charpentes, leurs murs ou leurs plafonds – ainsi que le pont arqué d'une longueur de 44 mètres que l'on peut voir à la forêt Montmorency sont des exemples concrets de construction en bois.