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Actualités

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Reconnaissance à Jean-Claude Ruel

22 décembre 2017

Jeudi le 21 décembre, à l’occasion du diner de Noël du département des sciences du bois et de la forêt, Alain Cloutier, directeur nouvellement nommé, en a profité pour souligner le travail de Jean-Claude Ruel à la barre du département au cours des quatre dernières années.

Merci à M. Ruel pour son travail au sein du département!

M. Alain Cloutier remmetant une plaque de reconnaissance à M. Jean-Claude Ruel
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Portrait des économies de la forêt de la FQM

12 décembre 2017

De l’acériculture à la chasse en passant par la cueillette de bleuets sauvages, des dizaines d’activités économiques ont comme facteur commun la forêt québécoise. La Fédération québécoise des municipalités (FQM) vient de publier une note économique faisant le portrait des économies de la forêt.

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Lancement de la nouvelle Chaire de recherche industrielle CRSNG – Canlak en finition des produits du bois d’intérieur

29 novembre 2017

La Chaire de recherche industrielle CRSNG – Canlak en finition des produits du bois d’intérieur, dont la titulaire est Véronic Landry, du Département des sciences du bois et de la forêt, a été lancée officiellement sur le campus le 28 novembre.

Ne serait-il pas merveilleux que les éraflures à la surface des meubles et des couvre-planchers se réparent d’elles-mêmes, comme le font les égratignures sur la peau? Ces produits autoréparateurs, qui semblent tout droit sortis de la science-fiction, pourraient devenir réalité d’ici quelques années grâce aux recherches menées dans des laboratoires qui œuvrent à l’interface de la chimie et des sciences du bois. C’est justement à ce type de projets que s’attaquera, au cours des cinq prochaines années, l’équipe de la Chaire de recherche industrielle CRSNG – Canlak en finition des produits du bois d’intérieur.

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Texte tirée de l'article de Jean Hamann

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Un nouveau pavillon entièrement dédié à la recherche au Cégep de Sainte-Foy

27 novembre 2017

Le Cégep de Sainte-Foy a procédé à l’inauguration officielle de son nouveau Pavillon de la recherche,  mardi 21 novembre 2017. Ce bâtiment dédié exclusivement à la recherche accueille depuis l’été 2017 le Centre d'enseignement et de recherche en foresterie (CERFO) et le Centre en imagerie numérique et en médias interactifs (CIMMI). Comprenant plusieurs locaux spécialisés, le nouveau bâtiment permet aux chercheurs d’assumer plus efficacement leur mandat et sa proximité avec le Cégep facilite la participation des professeurs. Les étudiants ont également l’occasion d’y approfondir leurs connaissances et de faire leurs premiers pas dans l’univers de la recherche. Ces centres de recherche vont bénéficier au milieu de la foresterie et de la géomatique, deux domaines pour lesquels notre Faculté offre des formations uniques au Québec.

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Photo: Cégep de Ste-Foy

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Don d’un livre ancien ayant appartenu à M. Gilbert Paillé

06 novembre 2017

C’est le 24 octobre 2017 que les enfants de M. Gilbert Paillé, Mme Nathalie Paillé et M. Sylvain Paillé, ont remis au doyen Mercier un livre ancien intitulé : L’Aménagement des Forêts par la méthode expérimentale et spécialement la méthode du contrôle, publié à Paris et Neuchâtel en 1920.  On y retrouve aux premières pages la note manuscrite « Du doyen E. Porter 1971 ». M. Paillé était alors jeune professeur en aménagement forestier et M. Edgar Porter, alors doyen.  « Ce livre, un peu défraîchi, a suivi notre père et notre défunte mère Lise Jutras lors de leurs nombreux déménagements au Canada, au Québec et en Suède. Nous croyons que ce livre mérite de rejoindre d’autres livres anciens dans la bibliothèque du doyen », de déclarer Nathalie et Sylvain Paillé, lors de la cérémonie de remise du livre au doyen Mercier. La famille a tenu à remercier M. Pierre Mathieu et la Société d’histoire forestière du Québec pour leur engagement de ce projet.

Légende de la photo : de gauche à droite : Mme Nathalie Paillé, M. Guy Mercier, doyen de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, M. Sylvain Paillé

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Un projet d'Alain Cloutier financé par la FCI

17 octobre 2017

La subvention de 1,4 M$ de la FCI (pour un projet dont le montant total prévu est de 3,6 M$) obtenue par Alain Cloutier, du Département des sciences du bois et de la forêt, et par d’autres chercheurs de l’Université Laval, de l’UQTR, de l’UQAC et des cégeps de Rimouski et de Trois-Rivières, permettra l’installation d’une infrastructure pour le développement de matériaux et de systèmes de construction biosourcés. «Il s’agit de systèmes utilisant des matériaux comme des fibres de bois ou des fibres agricoles, conçus de manière à économiser l’énergie, à favoriser le confort des occupants et à utiliser la bioénergie», explique-t-il.

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L'intelligence artificielle pour optimiser l'utilisation des séchoirs dans les scieries

10 octobre 2017

Dans le cadre des activités du consortium de recherche FORAC, le professeur Gaudreault, sa collègue Nadia Lehoux, du Département de génie mécanique, et leur équipe travaillent depuis trois ans sur le problème d’optimisation des séchoirs de scieries. Le consortium de recherche FORAC est un partenariat solide entre les intervenants de l’industrie des produits forestiers (Université Laval, entreprises et gouvernements). Nous regroupons des compétences en foresterie, génie industriel et mécanique, informatique et génie logiciel, ainsi qu’en administration.

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Photo tirée de l'article original

 

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Choisir le bois, c'est opter pour une ressource durable, renouvelable et écologique!

03 octobre 2017

Faire le bon choix, ce n'est pas toujours facile... mais récolter des arbres pour en faire des matériaux en bois, ça, c'est un très bon choix ! Visionnez les vidéos réalisés par le Collectif pour une forêt durable qui regroupe des ambassadeurs enracinés dans leur milieu - des gens qui ont à cœur le développement durable des forêts québécoises.

En adoptant une approche unique de concevoir et d’aménager la forêt au bénéfice de tous, le Québec a choisi de rendre accessible son territoire forestier. Réunir et marier le nombreuses possibilités qui la façonne est tout un art Cette marque distinctive, propre à la forêt québécoise, permet ainsi à ceux qui en vivent de continuer à le faire et à ceux qui l’utilisent, de continuer à y avoir accès. Le tout de façon responsable et durable pour tous.


Image: extrait des vidéos

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Fonds de développement durable

03 octobre 2017

Le Fonds de développement durable a été créé en 2007 afin de soutenir les initiatives avant-gardistes et structurantes de la communauté universitaire en matière de développement durable.

Vous avez envie de vous engager concrètement en développement durable? Vous avez une idée novatrice et réaliste? La mise sur pied de votre projet nécessite une aide financière? Acheminez votre dossier!

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Damien Mathis remporte le 2e prix du jury à la finale internationale du concours «Ma thèse en 180 secondes»

29 septembre 2017

 L’Université de Liège en Belgique accueillait le 28 septembre la finale internationale 2017 du concours francophone Ma thèse en 180 secondes (MT180), créé par l’Association francophone pour le savoir – ACFAS en 2012.

Le jury, composé de chercheurs, de journalistes et d’administrateurs, avait la difficile mission de désigner trois lauréats. Damien Mathis de l'Université Laval a remporté le 2e prix, pour la présentation de ses travaux de doctorat intitulé « Développement de nouveaux matériaux de haute inertie thermique à base de bois et matériaux à changement de phase biosourcés ».

Pour voir la présentation de Damien >>
Pour plus d'informations>>

Source :
Association francophone pour le savoir – ACFAS

 

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Développement de parcs et d'espaces verts

28 septembre 2017

La faculté de foresterie, géographie et géomatique de l'Université Laval a entamé des travaux avec des groupes d'étudiants afin d'analyser le potentiel du secteur de la rivière Sault-à-la-Puce. Le but est d'y aménager plus de parcs et d'espaces verts, tel que demandé par les citoyens de la municipalité.  Lisez l'article complet >>


Extrait de l'article paru sur le site L'autre Voix, le 23 septembre 2017
Photo TC Media – Prisca Benoit : Le maire Frédéric Dancause, entouré de partenaires des différents projets, a présenté les cinq lieux considérés comme prioritaires.

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Compte-rendu de la 12e rencontre «Viens vivre la forêt Duchesnay»

27 septembre 2017

Dans le cadre de l’événement Viens vivre la forêt 2017, des élèves provenant de 11 écoles secondaires des régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches ont exploré les différents métiers de l’aménagement forestier et de la transformation du bois, hier, à l’École de foresterie de Duchesnay.

Une nouvelle formule; le même succès année après année

Lors de cette journée, parmi les 12 ateliers de l’événement, les jeunes ont notamment pu découvrir le métier d’ingénieur forestier, « chausser les bottes » d’un forestier (technologue et technicien), marteler des arbres, manoeuvrer de la machinerie telle qu’un porteur et une débusqueuse ou encore vivre quelques instants dans la peau d’un affûteur.

« Année après année, l’événement éveille toujours autant l’intérêt des jeunes. Ce sont plus de 6 750 élèves du secondaire en choix de carrière qui ont participé à Viens vivre la forêt au fil des ans et qui ont ainsi découvert les multiples métiers de la forêt et du bois et leurs possibilités d’emploi grâce à des professionnels passionnés et ravis de transmettre leurs connaissances. La nouvelle formule, qui permet aux groupes d’explorer les métiers de façon beaucoup plus ciblée selon des circuits établis par niveau de formation, soit professionnelle, collégiale et universitaire, a beaucoup plu aux élèves et à leurs enseignants. » a exprimé Marielle Rancourt, directrice générale adjointe de Formabois.

Des participants enthousiastes

« J’ai beaucoup aimé ma journée ici! Ce que j’ai préféré, c’est que j’ai appris plein de choses sur la forêt et les métiers forestiers et que j’ai pu essayer plein d’outils et de machines. Les animateurs sont vraiment sympathiques et ils aiment clairement ce qu’ils font! » s’est exclamé un élève de l’école secondaire Jean-de-Brébeuf.

« Je ne connaissais pas tous les métiers [de la forêt et du bois] et je ne savais pas qu’il y avait plusieurs cours au Cégep et à l’université [en foresterie]. Les ateliers étaient intéressants et c’était cool de pouvoir passer du temps dehors! » s’est exprimée une élève du Collège de Champigny.

Une réalisation d’équipe

Cette journée a été rendue possible grâce au Comité sectoriel de main-d’oeuvre en aménagement forestier (CSMOAF) et à Formabois, à la collaboration de l’École de de Duchesnay, de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval, du Cégep de Sainte-Foy, de l’Association forestière des deux rives (AF2R) et de la Commission scolaire de la Capitale, ainsi qu’à la contribution financière de la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT) et du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP).

À propos de Viens vivre la forêt :

VVF est une occasion privilégiée d’entrer en contact d’une façon dynamique et interactive avec les métiers de l’aménagement forestier et de la transformation du bois sous forme d’ateliers pratiques propres à chacun des circuits d’enseignement proposés. Cette activité s’adresse aux élèves du 3e, 4e et 5e secondaire, ceux en cheminement particulier et de l’éducation aux adultes, de même qu’à tout intervenant ayant une influence sur le choix de carrière d’un élève.

Source et pour renseignements :

Marie-Pier Croteau, responsable communication et événements
Association forestière des deux rives (AF2R)
T : 418 522-0006 poste 3024
@ : communication@af2r.org

Pour plus d'informations: https://www.facebook.com/Associationforestieredesdeuxrives

Texte tiré du communiqué de presse de Viens vivre la forêt.

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Le génie du bois, 15 ans déjà!

21 septembre 2017

Le génie du bois célèbre ses 15 ans en 2017, un anniversaire qui mérite d'être souligné malgré son jeune âge. La recherche «Le génie qui touche du bois», réalisée par Jean-Paul Gilbert, retrace les moments clés qui ont caractérisé la mise en place de ce programme d'avant-garde à l'Université Laval. 

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Nouvelle tirée de l'AF2R

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Les futurs ingénieurs forestiers du Québec seront formés pour mieux comprendre les réalités autochtones

19 septembre 2017

L’Université Laval a officialisé aujourd’hui au Musée amérindien de Mashteuiatsh la création de la Chaire de leadership en enseignement (CLE) en foresterie autochtone, une initiative majeure qui a pour but d’augmenter le bassin de spécialistes forestiers hautement qualifiés et sensibilisés aux réalités autochtones. Grâce à cette structure pédagogique innovante, tous les futurs ingénieurs forestiers du Québec seront formés pour mieux comprendre les réalités autochtones à compter de janvier 2019.

Pour les Premières Nations, la forêt est vitale. Elle représente à la fois une richesse culturelle qui prend racine dans leur histoire depuis des millénaires et une richesse économique puisque plus de 80 % d’entre elles vivent en territoire forestier. Ainsi, mieux soutenir le développement durable chez les Premières Nations tout en favorisant la continuité de leurs rapports avec les territoires forestiers est l’objectif des partenaires fondateurs de la CLE en foresterie autochtone. 

En tant qu’unique université au Québec à offrir un programme de formation menant au titre d’ingénieur forestier, l’Université Laval joue un rôle de premier plan auprès des différents acteurs du milieu forestier, tels que les communautés autochtones et les industries forestières, qui comptent sur son expertise de pointe pour former des professionnels compétents et sensibles aussi à leurs préoccupations.  

« Nous avons travaillé ensemble afin de mettre sur pied un projet structurant qui permettra de comprendre, par une démarche pratique, pédagogique et scientifique novatrice, les facteurs déterminants d’un développement sensible à la culture, aux intérêts et aux besoins particuliers de chaque communauté autochtone », a déclaré Eugénie Brouillet, vice-rectrice à la recherche, à la création et à l'innovation de l’Université Laval.

En dépit du potentiel de développement économique énorme pour le Québec des entreprises forestières autochtones, il existe peu d’information à jour sur leur fonctionnement, leur environnement et leur performance. « Il faut comprendre les entreprises afin de mieux les soutenir dans leur développement et leur croissance. Cette CLE viendra appuyer les efforts de développement des connaissances et des compétences dans le domaine de la foresterie autochtone tout en conduisant des travaux de recherche et pédagogiques novateurs », a indiqué le professeur en foresterie et titulaire de la CLE, Jean-Michel Beaudoin.

« Cette chaire met en lumière les liens traditionnels, des liens millénaires, qui unissent les nations autochtones à la forêt et vient consacrer le rôle important qu’elles doivent jouer dans l’exploitation et la mise en valeur de nos forêts. Soucieuse du respect des communautés et des forêts, la Chaire sera d’abord et avant tout un outil au service de la communauté, ici, à Mashteuiatsh. J’espère que de nombreux jeunes Autochtones y verront la possibilité d’effectuer des études dans un domaine proche de leur champ de référence culturel et dans lequel ils auront le goût de s’investir », a déclaré Geoffrey Kelley, ministre responsable des Affaires autochtones.

Cette nouvelle structure d’accueil pour des projets de formation et de recherche viendra également faciliter l’accès à un programme de stages en milieu pratique ainsi qu’à un réseau d’experts au sein de l’Université Laval et des autres universités du Québec et du Canada, ce qui aidera les communautés autochtones à participer et à prendre en charge le développement durable des forêts québécoises. 

Enfin, la CLE se veut un pôle d’expertise novateur qui favorisera des relations durables entre les communautés autochtones, les entreprises forestières et les gouvernements. Elle permettra de faire le pont entre les modèles forestiers autochtones et les acteurs forestiers non autochtones et d’accroître la sensibilisation du grand public aux réalités autochtones.   

Cette innovation majeure voit le jour grâce à collaboration des Premières Nations d’Essipit, de Pessamit, de Mashteuiatsh et de Wemotaci; du Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ); du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs; du Secrétariat aux affaires autochtones; de la Société du Plan Nord; de FPInnovations; de l’Association des produits forestiers du Canada; de Forchemex; de l’Association des entrepreneurs en travaux sylvicoles du Québec; de la Fédération québécoise des coopératives forestières; du gouvernement du Canada. Cet engagement représente un investissement direct d’une valeur de 590 000 $ sur une période de 5 ans.

Ce don vient s’ajouter à une contribution de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique totalisant 250 000 $. Cet investissement contribuera à soutenir la Chaire pour les cinq prochaines années et à créer un poste de professeur à la Faculté. 

À propos du programme des chaires de leadership en enseignement 
Le programme de chaires de leadership en enseignement (CLE) de l’Université Laval a été inauguré au printemps 2011. Créée en partenariat avec le milieu socioéconomique, chaque CLE est un lieu d’innovation pédagogique où les avancées scientifiques et technologiques sont intégrées et adaptées aux besoins des personnes en formation. À ce jour, 40 CLE ont été créées dans le but de répondre à des enjeux précis de formation en sciences de l’administration, en sciences et génie, en théologie et sciences religieuses, en sciences sociales, en sciences de l’éducation et en sciences de l’agriculture et de l’alimentation.

 

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Des enseignants nouvellement diplômés du Camp forêt!

18 septembre 2017

L’AF2R et ses partenaires, dont la FFGG, organisaient au mois d'août à la Station touristique Duchesnay, la neuvième édition du Camp forêt des profs à destination des intervenants du milieu scolaire. Les 27 nouveaux finissants ont adoré leur séjour «d'école en forêt» et sont prêts à transmettre leurs savoirs à leurs élèves!
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Nouvelle tirée de l'AF2R

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Il est encore possible de faire une demande d'admission pour l'automne 2017

23 août 2017

L'admission à la session d'automne 2017 est encore possible jusqu'au 1er septembre 2017 dans plusieurs de nos programmes. Veuillez contacter rapidement l'agente de gestion des études selon le programme visé pour obtenir plus d’information et remplir le formulaire requis. Notez que les candidats admis tardivement pourraient avoir un délai dans l’ouverture de leur dossier et l’accès au contenu des cours sur Internet.

AGENTES DE GESTION DES ÉTUDES

Mme Carmen Demers
Agente de gestion des études, 1er cycle

Baccalauréats en environnements naturels et aménagés, aménagement et environnement forestiers, opérations forestières, génie du bois, génie géomatique, sciences géomatiques et certificat en développement durable.
carmen.demers@ffgg.ulaval.ca
418 656-3880

Mme Judith Giguère 
Agente de gestion des études, 1er, 2e et 3e cycles

Programmes de 1er, 2e et 3e cycles en géographie, certificat en tourisme durable, maîtrise en biogéosciences de l'environnement et microprogramme de 2e cycle en changements climatiques
Judith.giguere@ggr.ulaval.ca
418 656-2131 poste 4498

Mme Stéphanie Boivin
Agente de gestion des études, 2e et 3e cycles

Programmes de 2e et 3e cycles en sciences forestières, sciences du bois et sciences géomatiques et microprogramme de 2e cycle en géomatique Pavillon Abitibi-Price bureau 1250
Stephanie.boivin@ffgg.ulaval.ca
418 656-3680

 

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Plantation d'arbres à la Forêt Montmorency

22 août 2017

Le 11 juillet 2017, des étudiants et des employés de l’Université ont planté 496 arbres à la forêt Montmorency pour contribuer au programme de compensation volontaire des émissions de gaz à effet de serre. Au cours de leur croissance, les épinettes blanches plantées capteront 33 tonnes de CO2 équivalent. Merci à tous ceux et celles qui ont contribué à cette journée!


Nouvelle tirée de l'Infolettre DD  de l'Université Laval - août 2017

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Le bois d’œuvre, c’est quoi au juste

10 août 2017

Le Canada et les États-Unis sont entrés dans un autre conflit sur le bois d’œuvre. Mais qu'entend-on par bois d'oeuvre et que représente cette industrie pour l'économie canadienne? Voici quelques explications en chiffres.

QU’EST-CE QUE LE BOIS D’OEUVRE?

Il s’agit du bois utilisé dans la construction de la charpente de maisons et dans la fabrication de produits destinés à la construction ou à la rénovation résidentielle. Le bois d’œuvre est surtout employé comme support.

Les planches (souvent épaisses et larges), les madriers (les 2 x 4, par exemple), les poutres, les lambris, etc. sont du bois d’œuvre. Le bois d’œuvre canadien provient presque en totalité (98 %) d’arbres résineux. Les principales essences transformées en bois d’œuvre au Canada sont l’épinette, le pin, le thuya et le sapin.

Les essences de bois franc, comme l’érable, le merisier et le chêne, ne sont à peu près pas utilisées pour faire du bois d’œuvre. Le bois franc est généralement réservé à la confection de meubles, de planchers et d’autres ouvrages dits de finition.

La majorité du bois d’œuvre canadien (90 %) est coupé dans les forêts publiques. Aux États-Unis, c’est le contraire, le bois d’œuvre provient en grande partie de terres privées.

OÙ EXPORTE-T-ON PRINCIPALEMENT LE BOIS D’OEUVRE CANADIEN?

Le principal acheteur du bois d’œuvre canadien est les États- Unis. Le marché américain représente actuellement près de 75 % des exportations canadiennes de bois d’œuvre, chiffre l’Institut économique de Montréal.

Les exportations de bois d’œuvre vers les États-Unis ont totalisé 7,5 milliards de dollars canadiens en 2016, selon Statistique Canada. La Chine et le Japon sont également devenus d’importants marchés. Les exportations vers la Chine s’élèvent à 1,1 milliard de dollars en 2016 et à 776 millions de dollars pour le Japon pour la même année, indique Statistique Canada.

COMBIEN L’INDUSTRIE DU BOIS D’OEUVRE RAPPORTE-T-ELLE AU CANADA?

La majorité du bois d’œuvre produit au Canada est destiné à l’exportation. De tout le bois d’œuvre canadien produit en janvier 2017, 3 537 700 mètres cubes ont été vendus sur les marchés étrangers.

La Colombie-Britannique, le Québec et l’Alberta sont les principaux exportateurs. En 2015, les exportations du bois d’œuvre ont rapporté 8,5 milliards de dollars. La vente sur le marché américain représente actuellement près de 24 300 emplois directs au Canada, selon Alexandre Moreau, analyste en politiques publiques de l’Institut économique de Montréal. Le bois d’œuvre représente 20 % de la valeur des exportations de produits forestiers canadiens, selon Ressources naturelles Canada.

QUELLES PROVINCES PRODUISENT DU BOIS D’OEUVRE?

Le Canada a produit environ 5 813 400 mètres cubes de bois d’œuvre en janvier 2017, selon les plus récentes données de Statistique Canada. Les principales provinces produisant du bois d’œuvre sont la Colombie-Britannique (au moins 2 606 000 mètres cubes en janvier 2017), le Québec (1 467 300 mètres cubes), l’Alberta (798 800 mètres cubes) et l’Ontario (476 400 mètres cubes). D’autres provinces en produisent également, mais leur quantité est moins importante : le Nouveau-Brunswick (238 800 mètres cubes), la Nouvelle-Écosse (90 100 mètres cubes), et la Saskatchewan (62 700 mètres cubes).


Source : Radio-Canada
Photo : AFVSM

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Le programme Mentor : un contact privilégié avec un professionnel d'expérience

07 août 2017

Offert par le Service de placement de l'Université, le programme Mentor donne la chance aux étudiants de l'Université Laval de bénéficier d'un contact privilégié avec un professionnel d'expérience. Ce programme vise à faciliter l'intégration des étudiants au marché du travail, à mieux comprendre les réalités liées à son choix de carrière et à développer son réseau de contacts.

Pour tout savoir sur le programme, assistez à une séance d'information ou visionnez cette courte vidéo :

 

Admissibilité

  • Être un étudiant de l'Université Laval

  • Être inscrit au SPLA

Implication

Votre participation à ce programme implique quatre rencontres individuelles d'une heure et deux activités organisées par le Service de placement. Un journal de bord expliquant les quatre thématiques de vos rencontres vous sera remis à la suite de votre jumelage afin de vous aider dans votre préparation. Les quatre thématiques sont :

  1. Alliance et communication

  2. Valeurs et réussites professionnelles

  3. Développement de carrière

  4. Réseautage

Comment participer?

Quand consulter les offres de mentorat?

Les profils de nos mentors sont affichés dans notre site Web à partir de la mi-septembre chaque année.

Pour la cohorte 2017-2018, les profils de mentors sont affichés entre le 18 septembre et le 22 octobre 2017. Il y a trois périodes d'affichage; postulez dès le 1er tour. Si votre candidature n'est pas retenue par le mentor que vous avez sélectionné, vous aurez la possibilité de postuler un autre profil de mentor au 2e tour.

  • 1er tour : du 18 septembre au 1er octobre 2017

  • 2e tour : du 9 au 22 octobre 2017

Comment consulter les offres des mentors et y postuler?

Pour consulter les profils de mentors disponibles :

  1. Connectez-vous à votre compte Mon SPLA dans notre site Web.

  2. Une fois identifié avec votre IDUL et votre NIP, rendez-vous dans l'onglet « Consulter les offres » et faites une recherche d'offres de type « mentorat ».

  3. Postulez sur le profil de mentor qui correspond le mieux à vos intérêts professionnels en transmettant votre CV et une lettre de motivation dans laquelle vous expliquez pourquoi vous aimeriez que ce mentor en particulier vous choisisse.
    N.B. Vous ne pouvez postuler plus d'une offre par période (tour) d'affichage.

Les places sont limitées en fonction du nombre de mentors disponibles. Transmettre votre candidature ne garantit pas que vous serez sélectionné.

Pour plus d'information, envoyez un courriel au comité ou téléphonez au 418 656-3575.

Vous êtes un étudiant entrepreneur de l'Université Laval et vous aimeriez avoir un mentor? Sachez qu'Entrepreneuriat Laval offre également un programme de mentorat. Pour en savoir plus, consultez le site.

Le SPLA remercie The Counselling Foundation of Canada qui appuie le programme Mentor, ainsi que son partenaire Entrepreneuriat Laval.

Témoignages

 

« Grâce à ma mentore, j’ai appris à me faire confiance; cela m’a donné beaucoup d’assurance. L’expérience a été très profitable d’un point de vue personnel. J’ai même réussi à me trouver un emploi peu de temps après la fin de mes études! »

– Amélie Marois, mentorée

« Cette expérience m'a donné confiance en mon potentiel et m’a permis de me fixer des objectifs de carrière à moyen et long termes. »

– Anouk Fortin Lapointe, mentorée

« Le programme Mentor m’a tellement apporté que je compte m’y investir à mon tour, à titre de mentor. »

– Simon Veilleux, mentoré

« Les rencontres avec ma mentore m’ont permis d’en apprendre beaucoup sur moi, sur mes forces et sur mes faiblesses. Mes discussions avec elle m’ont aussi permis de m’outiller en vue de mes futures entrevues d’emploi, dans mon domaine d’études. »

– Olivier Carré, mentoré

« Grâce aux conseils et aux exemples concrets de ma mentore, j'ai pu dresser un portrait fiable et réaliste du marché du travail. J'ai trouvé plus que du soutien professionnel; j'ai rencontré une personne-ressource qui se souciait réellement de m'épauler dans ma transition vers le milieu professionnel. »

– Sophyanne Beloin, mentorée

« Ma mentore m’a amenée à réfléchir sur la façon dont je me présentais à un futur employeur et à mieux cerner le type d’emploi qui me ressemble. »

– Amélie Deschênes, mentorée

« Grâce au programme Mentor, j'ai pu avoir une meilleure idée de quel environnement de travail me conviendrait le mieux et dans quelles tâches je performerais davantage. »

– Bénédicte Laberge, mentorée

« J'avais beaucoup d'incertitudes par rapport au marché du travail. Participer au programme Mentor m'a éclairée et m'a donné des outils afin de mieux planifier mon entrée dans le mon de professionnel. »

– Patricia Beauregard, mentorée

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Nouveau programme unique au Québec - Certificat en géomatique

25 juillet 2017

En juin dernier, le Conseil universitaire a autorisé la création du certificat en géomatique. Ce nouveau programme permettra aux étudiants de développer des habiletés pratiques relatives à la production cartographique, à la confection et à la gestion de bases de données géospatiales, à l’usage d’un système d’information géographique, au traitement d’images satellitaires ou aéroportées, et à l’utilisation de logiciels spécialisés.

AcquÉrir, traiter et diffuser des donnÉes gÉospatiales
Rattaché à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, le programme offre une initiation aux méthodes, techniques et pratiques de la géomatique. En s’appuyant sur les sciences de la mesure et de la représentation de la terre, cette formation de premier cycle se rapporte à l’utilisation des technologies de l’information pour acquérir, traiter et diffuser des données sur le territoire.

Le certificat est offert aux détenteurs d’un diplôme d’études collégiales (DEC), ou l’équivalent. Les candidats adultes, présentant scolarité et expériences pertinentes, peuvent être admissibles.

Ce programme peut être suivi à distance, en tout ou en partie, selon une formule offrant toute la souplesse nécessaire pour concilier les études avec les autres sphères de votre vie. Pour connaître les cours offerts, consultez le site du Département de géomatique.

Cette formation comprend un bloc de cours obligatoires et un bloc de cours optionnels. L’offre de cours est constituée à partir des disciplines de la géomatique et des domaines d’application comme l’aménagement du territoire, les changements climatiques, la géographie, la sécurité civile, les transports, le droit et la foresterie.

Il est possible de s’inscrire à la session d’automne jusqu’au 15 août 2017.

Pour faire une demande d’admission, cliquez ici.

 

 

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Mystère dans la forêt boréale

25 juillet 2017

Source - Jean Hamann, journal le Fil

Une étude soulève des questions sur la situation réelle des populations d'oiseaux de la forêt boréale québécoise.

La bonne nouvelle d’abord: au cours des deux dernières décennies, les populations d’oiseaux ont été stables ou en hausse à la Forêt Montmorency. La nouvelle déroutante maintenant: les indices d’abondance qui y ont été mesurés sont très faiblement corrélés avec ceux rapportés par les autres programmes de recensement d’oiseaux au Québec. Ces résultats, publiés dans un récent numéro du Naturaliste canadien, soulèvent des questions sur la situation réelle des populations d’oiseaux de la forêt boréale québécoise et sur la fiabilité des données produites par les différents programmes de suivi, estiment les deux auteurs de l’étude, André Desrochers, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt et chercheur au Centre d’étude de la forêt, et Bruno Drolet, du Service canadien de la faune.

Chaque année, entre 300 et 500 millions d’oiseaux appartenant à quelque 180 espèces migrent des États-Unis et de l’Amérique latine vers le Québec pour s’y reproduire. Même si ces chiffres sont impressionnants, les effectifs des oiseaux de la forêt boréale seraient en déclin depuis quelques décennies, au point où le nombre d’espèces au statut précaire est en hausse. Toutefois, considérant la superficie de la forêt boréale et les limitations des programmes de suivi des populations d’oiseaux, il y a lieu de s’interroger sur la fiabilité des données issues de ces programmes.

Les chercheurs Desrochers et Drolet ont voulu jeter un nouvel éclairage sur la question en analysant les données recueillies par le Programme de surveillance des oiseaux nicheurs de la Forêt Montmorency, la forêt d’enseignement et de recherche de l’Université Laval, située dans la sapinière boréale humide, à 70 km au nord de Québec. Entre 1995 et 2016, près de 62 000 observations d’oiseaux ont été faites lors de visites effectuées pendant la période de nidification aux quelque 5 800 stations d’écoute réparties sur ce territoire.

L’analyse des données portant sur les 32 espèces observées au moins 100 fois révèle que leurs effectifs sont demeurés stables ou qu’ils ont augmenté au cours des deux dernières décennies. Ces augmentations ont été observées tant chez les espèces fréquentant les peuplements en régénération que chez celles des forêts fermées ou matures. Toutefois, les indices d’abondance annuels mesurés à la Forêt Montmorency concordent peu avec ceux calculés à partir des données de trois autres programmes québécois de suivi des populations d’oiseaux (Relevé des oiseaux nicheurs, Observatoire des oiseaux de Tadoussac, Observatoire des oiseaux de McGill).

Que faut-il conclure de tout ça? «Au-delà du trivial « il n’y a pas de variation importante des effectifs », il est difficile de dire avec certitude ce qui se passe avec les oiseaux de la forêt boréale du Québec, commente André Desrochers. Soit il existe une forte variation régionale dans la situation des espèces ou bien il y a une méconnaissance de l’état réel des populations d’oiseaux en raison d’un suivi insuffisant dans l’ensemble de la forêt boréale. Pour tirer la question au clair, il faudrait étendre les programmes de surveillance des populations d’oiseaux à l’ensemble de la forêt boréale, notamment au nord de la sapinière», conclut le chercheur.

 

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Découvrez la nouvelle vitrine web Une forêt de possibilités

02 juin 2017

En adoptant une approche unique de concevoir et d’aménager la forêt au bénéfice de tous, le Québec a choisi de rendre accessible son territoire forestier. Réunir et marier les nombreuses possibilités qui la façonnent est tout un art. Cette marque distinctive propre aux forêts québécoises permet ainsi à ceux qui en vivent de continuer à le faire et à ceux qui l’utilisent, de continuer à y avoir accès, le tout, de façon responsable et durable pour tous.
Visiter uneforetdepossibilites.com >

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Les matériaux de construction verts du SEREX

31 mai 2017

Le Service de recherche et d'expertise en transformation des produits forestiers (SEREX), situé à Amqui, compte bien profiter des quatre millions de dollars consentis par Québec pour développer les panneaux et les bois de composites.

Un texte de Jean-François Deschênes, à lire sur Radio-Canada
Photo: Échantillon de colle à base d'épinette blanche / Photo : Radio-Canada/Jean-François Deschênes

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Entrevue radio: le projet Spruce-Up avec Jean Bousquet

31 mai 2017

Piloté par Jean Bousquet, le projet Spruce-Up vise à développer de nouvelles approches afin d'identifier rapidement des variétés d'arbres plus résilients. « On essaie de déterminer quelles sont les variétés d’arbres qui sont le mieux adaptés aux conditions du futur », résume Jean Bousquet, professeur titulaire à la Faculté de foresterie de l’Université et codirecteur du projet Spruce-Up.

Lisez l'article et écoutez l'audio-fil sur le site de Première heure de Radio-Canada

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Votez en ligne pour appuyer le projet de Damien Mathis!

31 mai 2017

En votant en ligne tous les jours d’ici le 11 juin, merci d’appuyer le projet de Damien Mathis «Un système de plancher en bois contenant des matériaux à changement de phase pour stocker de l'énergie solaire » ce qui lui permettra d’obtenir le Schweighofer Student Award ! Un bel ambassadeur pour la FFGG ! Vous trouverez plus bas un message de la part de Damien.

Pour voter >>


Bonjour à tous et à toutes,

Un projet d'innovation que j'ai proposé a été retenu par le jury du Schweighofer prize en Autriche. Le Schweighofer prize est un prix d’innovation dans le secteur du bois en Europe. Il vise à récompenser des initiatives industrielles et universitaires. Un meeting de deux jours avec des workshops et des conférences aura lieu fin juin à Viennes. Outre les prix principaux, il y a également un Student Award. C’est pour cela là que mon projet a été retenu.

Il s'agissait de détailler une innovation scientifique / technologique et j'ai proposé un système de plancher en bois qui contient des matériaux à changement de phase pour stocker de l'énergie solaire. Nous sommes 6 étudiants retenus et pour être départagés, c'est le vote du public qui fait foi.

Le public, c'est en grande partie le réseau de chacun. Comme le gagnant sera dévoilé à la fin de deux jours de conférence en Autriche fin juin, le projet retenu bénéficiera d’une forte visibilité chez les industriels et universitaires du domaine de la construction en bois. A fortiori, ce serait une belle promotion pour l’Université LAVAL, le CIRCERB et le CRMR. Et puis, il y a une bourse de 5000 euros à la clé.

Le principe est de voter en ligne en cliquant sur mon projet. Il est possible de voter une fois par jour jusqu'au 11 juin. Est-ce que vous pourriez relayer l’information via vos réseaux s’il vous plait ? Voici la page ou voter : https://www.schweighofer-prize.org/student_award/index.php?lang=EN

Merci à tous et à toutes, et bonne journée,

 Damien MATHIS
Etudiant en Ph. D. 
Sciences du bois
Université LAVAL

 

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Marine Vautier remporte le premier prix au concours Science, action!

18 mai 2017

Avec son dessin animé sur les gènes de nos forêts, l'étudiante Marine Vautier remporte le premier prix au concours Science, action!, un concours de vidéos du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada.

Marine Vautier est inscrite au doctorat en sciences forestières. Son sujet de recherche porte sur la caractérisation de gènes impliqués, chez le peuplier, dans la réponse de défense à des champignons biotrophes et hémibiotrophes. Au mois d’avril, elle remportait le prix de la meilleure vidéo en français au concours Science, action! du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada. Une bourse de 3 500$ était jointe à ce prix.

Félicitations Marine!

Extrait de l'article de Yvon Larose dans le fil

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Évelyne Thiffault remporte le Mérite coopératif 2017

18 mai 2017

Évelyne Thiffault, professeure au Département des sciences du bois et de la forêt, a reçu le Mérite coopératif de la Fédération québécoise des coopératives forestières (FQCF), le 6 avril 2017.

Ce prix remis par la FQCF, en collaboration avec le Mouvement Desjardins, souligne le rôle déterminant de Mme Thiffault dans un cycle de recherche qui vient de se conclure sur les procédés de récolte de biomasse.

Pour en savoir plus sur le FQCF >>

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L’environnement, un domaine en pleine expansion

11 mai 2017

Conjuguer la mise en valeur des ressources renouvelables et la conservation d’écosystèmes intègres et viables est l’un des grands défis environnementaux du Québec et de la planète. Les travailleurs possédant des compétences environnementales sont de plus en plus recherchés dans les secteurs qui font face à des enjeux environnementaux croissants et qui commencent à se doter d’une expertise environnementale.

Selon Jobboom, le nombre d’emplois dans le secteur de l’environnement a bondi de 27% entre 2009 et 2012. La hausse de l’embauche se poursuivra au cours des prochaines années, puisque de nouvelles lois et réglementations imposent des mesures plus sévères pour la protection de l’environnement et la réduction de l’empreinte écologique des entreprises.

Lisez l'article complet de Sandrine Larochelle, responsable de promotion et d’information sur les études à la FFGG, publié dans le cahier spécial 2017 TOUCHE DU BOIS, à la page 10. 

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Le cahier spécial 2017 TOUCHE DU BOIS de l'AF2R est maintenant disponible!

11 mai 2017

Pour la 10e année consécutive, l'AF2R a publié dans Le Soleil du samedi 29 avril son cahier spécial 2017 TOUCHE DU BOIS à l'aube du Mois de l'arbre et des forêts (mai). 

Avec des formations professionnelles axées sur le bois et la forêt qui présentent un taux de placement de 100%, pas besoin de toucher du bois pour attirer la chance! L'AF2R, en collaboration avec Le Soleil et plusieurs partenaires forestiers, est fière de vous offrir ce cahier d'information sur les possibilités de carrière du bois, de la forêt et la protection de la nature.

Lire le cahier spécial >
Télécharger en format PDF >

À propos de l'AF2R>>

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Finale nationale de MT180 : Damien Mathis remporte le 1er prix du jury et prix du public!

05 mai 2017

Le 4 mai 2017 se tenait à Montréal la finale nationale du coucours «Ma thèse en 180 secondes». Grâce à la présentation de sa thèse, sous le thème «Développement de nouveaux matériaux de haute inertie thermique à base de bois et matériaux à changement de phase biosourcés», Damien a reçu non seulement le premier prix du jury mais aussi le prix du public! 

L’aventure se poursuivra pour lui le 28 septembre 2017 lors de la quatrième finale internationale du concours à Liège en Belgique. Les participants auront l’occasion de rencontrer des étudiants de 15 autres pays (Belgique, Bénin, Cameroun, Côte d’Ivoire, États-Unis, France, Haïti, Indonésie, Liban, Maroc, République démocratique du Congo, Roumanie, Sénégal, Suisse et Tunisie).

Damien est étudiant au doctorat au CIRCERB sous la direction de Pierre Blanchet. 

Félicitations Damien!


Exercice ultime de concision, le concours Ma thèse en 180 secondes (MT180) créé et organisé par l’Association francophone pour le savoir - ACFAS et présenté par Hydro-Québec, permet à des étudiants au doctorat de présenter au grand public, en seulement trois minutes, leur sujet de recherche avec des termes simples. La finale nationale se tenait ce soir au Jardin botanique de Montréal et trois lauréats ont été proclamés.

Source : Association francophone pour le savoir - ACFAS

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17 mai 2017: date limite de soumission d'un résumé pour la 14e Conférence internationale sur les phytotechnologies (IPC 2017)

05 mai 2017

Vous êtes invité à soumettre votre résumé pour la 14e Conférence internationale sur les phytotechnologies (IPC 2017). La date limite est le 17 mai 2017. Vous pouvez le soumettre en suivant les directives sur le site de la conférence.

Depuis 2004, les conférences annuelles de l’IPS invitent les scientifiques, ingénieurs, industriels et praticiens du monde entier à venir présenter et discuter des plus récentes avancées dans le domaine des phytotechnologies. Les phytotechnologies représentent un ensemble de stratégies utilisées pour résoudre des problèmes environnementaux par l’utilisation de plantes et des microorganismes qui leur sont associés.

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Dossier: Tourisme au menu

21 avril 2017

Le dossier «Tourisme au menu» du magazine Contact présente les travaux et les points de vue de chercheurs sur le phénomène du tourisme à travers différents prismes. Des tendances actuelles jusqu'aux attraits aussi anciens que le patrimoine et le terroir, mais servis à la sauce du jour.

Mme Nancy Gélinas, vice-doyenne aux études à la FFGG, a collaboré à ce dossier dans l'article «3 expériences touristiques nouveau genre», sur la cueillette et la dégustation de champignons forestiers.


Photo Julie Moffet, Forêt Montmorency

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Renouvellement de la carboneutralité

18 avril 2017

L’Université Laval maintient la carboneutralité du campus en réduisant massivement à la source ses émissions de gaz à effet de serre et en les compensant à l’aide de crédits carbone. Chef de file en développement durable, elle devenait en 2015 la toute 1re université au Québec et au Canada à présenter, sans y être obligée par une loi, un bilan nul de ses émissions de gaz à effet de serre. Consultez le bilan GES 2015-2016.

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Marine Vautier, gagnante du prix de la meilleure vidéo en français au concours Science Action

07 avril 2017

Marine Vautier s’est mérité le prix de la meilleure vidéo en français au concours Science Action du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) du Canada. Vous pouvez visionner la vidéo sur le site du concour.

Étudiante au doctorat en sciences forestière sous la direction de Louis Bernier, le sujet de son doctorat porte sur la caractérisation de gènes impliqués, chez le peuplier, dans la réponse de défense à des champignons biotrophes et hémibiotrophes

Toutes nos félicitations!

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Martin Béland et Evelyne Thiffault obtiennent un financement de la Fondation canadienne pour l’innovation

02 mars 2017

La Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) vient d’accorder une somme totalisant 2,1 M$ à 17 chercheurs de l’Université Laval. Ces subventions, qui proviennent du Fonds des leaders John-R.-Evans, aident l’Université à recruter et à maintenir en poste les meilleurs chercheurs en leur procurant de l’équipement et des installations de pointe. Soulignons que le gouvernement du Québec verse un montant équivalent à celui attribué par la FCI. À ces sommes s’ajoutent des contributions de l’Université et de partenaires, ce qui porte le total à près de 5,3 M$ pour les projets retenus à ce concours.

Martin Béland du Département des sciences géomatiques obtient 158 000$ pour le projet Forêt numérique et Évelyne Thiffault du Département des sciences du bois et de la forêt obtient 191 000$ pour sont projet "Chemical characterization of soils and organic materials to manage and restore productive forest ecosystems".

Lire l'article du Fil, journal de la communauté universitaire 17 projets financés par le Fonds des leaders

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Protéger pour mieux s'adapter

16 février 2017

L'Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société (EDS) présentera une table ronde sur les aires protégées comme solution aux changements climatiques. Les aires protégées permettent de renforcer la résilience écologique d’un territoire en servant de refuges à la biodiversité. Or, voilà: la superficie de certains parcs, comme celui de la Gaspésie et de la Mauricie, est trop petite pour être efficace. «Pour être particulièrement résilient face aux changements climatiques, un parc national doit avoir une superficie d’au moins 3 000 kilomètres carrés. Le parc de la Mauricie fait 500 kilomètres carrés et celui de la Gaspésie, 800. Leur dimension n’est donc pas suffisante et il est difficile, politiquement, de l’élargir. C’est pourquoi il faut trouver de nouveaux outils de conservation», explique Louis Bélanger, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt.

Depuis six ans, avec plusieurs partenaires publics, Louis Bélanger, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt, codirige un projet-pilote qui vise à implanter des aires protégées polyvalentes autour du parc de la Gaspésie et de la Mauricie. Ce modèle d’aménagement a pour particularité d’offrir différentes formes d’utilisation durable du territoire, tout en assurant la protection et le maintien de la biodiversité. Fort populaire en Europe, il est peu connu de ce côté-ci de la frontière. L’ajout d’aires protégées polyvalentes permettrait de créer et de gérer, par des moyens légaux et administratifs, des zones de transition entre les portions de territoire aménagées et celles réservées à la préservation. Les caribous et les autres espèces en péril qui errent souvent à l’extérieur des parcs auraient ainsi de meilleures chances de s’adapter aux changements climatiques.

Le mardi 28 février, à 16h30, au locaux 2320-2330 du pavillon Gene-H.-Kruger. L’entrée est libre. La table ronde sera diffusée en direct sur le Web.

Lire l'article complet paru dans le Fil, journal de la communauté universitaire.

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Steven Cumming obtient 684 000$ du CRSNG

16 février 2017

Steven Cumming, du Département des sciences du bois et de la forêt, a reçu 684 000$ pour son projet portant sur la conservation des oiseaux dans les forêts aménagées. Cinq professeurs ont obtenu des subventions de partenariat stratégique pour les projets attribuées par le CRSNG.

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Un coup de pouce à la grive de Bicknell

15 février 2017

L’Université Laval, la Fondation de la faune du Québec (FFQ) et le Séminaire de Québec ont paraphé aujourd’hui une entente visant la création d’un site de conservation pour la grive de Bicknell. D’une durée de 40 ans, cette entente prévoit que 40 hectares de forêts situées sur les terres du Séminaire de Québec, dans la Seigneurie de Beaupré, seront aménagés de façon à protéger l’habitat de cette espèce. En vertu de l’accord, la Fondation de la faune versera, au nom de l’Université, un loyer totalisant 40 000$ au Séminaire de Québec.

[...] La population totale de l’espèce serait de l’ordre de 50 000 individus, dont environ 5 000 dans les Maritimes et autant au Québec. En raison de ses faibles effectifs, de sa répartition fragmentée et des pressions exercées sur ses habitats de nidification ainsi que sur ses aires d’hivernage dans les Grandes Antilles, l’espèce a été désignée «vulnérable» par le Québec en 2009. «Il semble exister deux écotypes de grive de Bicknell», souligne le professeur André Desrochers, du Département des sciences du bois et de la forêt. Le premier est associé aux vieilles forêts inaccessibles situées au sommet des montagnes, comme au mont Mégantic, au mont Gosford et aux monts Valin. Le second se retrouve dans des habitats créés par des coupes forestières pratiquées 15 à 25 années plus tôt, comme à la Forêt Montmorency, où le professeur Desrochers étudie l’espèce. «Lorsque ces forêts vieillissent et se referment, nous croyons que les grives se déplacent vers des forêts plus jeunes», avance le chercheur.

Lire l'article complet par Jean Hamann dans le Fil journal de la communauté universitaire

Crédit photo: André Desrochers

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Intérêt grandissant des employeurs pour les candidats ayant des compétences en développement durable

13 février 2017

Une enquête démontre que les entreprises québécoises ont de plus en plus d'intérêt pour les candidats ayant des connaissances ou des compétences en développement durable. Le concept de développement durable (DD) a-t-il fait sa place dans la culture organisationnelle des entreprises québécoises? Le marché du travail fait-il preuve d’ouverture pour de la main-d’oeuvre spécialisée en DD? Pour tenter de répondre à ces questions, le Service de placement (SPLA) a mené une vaste enquête prospective en 2015 et en 2016. Les résultats viennent d’être rendus publics dans le Rapport d’enquête sur la perception des compétences en développement durable sur le marché du travail.

L’enquête comportait trois volets. D’abord, le groupe de travail a analysé un corpus de 341 offres d’emploi affichées par des employeurs au SPLA sur une période de 2 ans. Ensuite, le Service de placement a tenu un groupe de discussion portant sur la perception des entreprises sur les compétences recherchées en matière de DD. Enfin, le SPLA a élaboré et administré un sondage sur les compétences recherchées en DD dans les organisations. Près de 16 000 personnes-ressources, employées dans quelque 10 000 entreprises québécoises, ont reçu le questionnaire par courriel.

[...] Les échanges au sein du groupe de discussion ont notamment permis d’apprendre que les organisations représentées ont intégré le DD à leur structure et à leur fonctionnement pour des raisons économiques et d’optimisation des processus et des ressources. Il a également été mentionné que les organisations qui répondent aux appels d’offres du gouvernement du Québec, parce qu’elles doivent respecter un cadre légal normatif défini dans la Loi sur le développement durable, semblent plus enclines à intégrer dans leur fonctionnement des comportements en lien avec le développement durable. [...]Plus de la moitié des répondants (55%) ont démontré de l’intérêt pour du personnel compétent en développement durable. [...]Autre résultat à souligner: dans 41% des cas, les répondants ont dit que, devant trois candidats au profil similaire et à la candidature équivalente, ils choisiraient celui ayant un diplôme en lien avec le DD.

Les résultats mettent également en valeur l’importance accordée à la dimension sociale du DD. Près de 70% des répondants l’ont mentionnée. «Les grandes entreprises veulent être socialement responsables, elles veulent redonner à la collectivité, affirme le directeur. Plusieurs s’engagent sur ce plan.

Consultez l'article complet "Une valeur ajoutée du 21e siècle" d'Yvon Larose, paru dans le Fil, journal de la communauté universitaire.

Plusieurs des programmes de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique sont axés sur le développement durable ou ont un profil en développement durable et de nombreux cours sont certifiés DD. Le certificat en développement durable offert en classe ou à distance permet aussi d'acquérir de nouvelles compétences en développement durable. Cette enquête permet de mieux comprendre et cerner l'enjeu du développement durable sur le marché du travail.

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L’ère des gentlemen forestiers?

09 février 2017

Le profil des propriétaires de boisés privés est en mutation au Québec et les urbains occupent une place grandissante dans le paysage. C’est ce que suggère une étude publiée dans la revue Forest Policy and Economics par des chercheurs qui ont dressé le portrait des nouveaux propriétaires de boisés et qui l’ont comparé avec celui des propriétaires de longue date. Selon les auteurs de l’étude, les gestionnaires de la forêt devront adapter leurs messages et leurs programmes aux valeurs et aux priorités de la nouvelle génération de propriétaires s’ils veulent les convaincre d’aménager plus intensivement leur boisé.

Au Québec, quelque 134 000 personnes possèdent des lots boisés d’au moins 4 hectares. Ces forêts privées couvrent 10% du territoire forestier, mais elles fournissent environ 15% du bois livré aux usines, ce qui représente des revenus de l’ordre de 200 M$ à 360 M$ annuellement. Si on ajoute à ce montant les revenus de la production acéricole (300 M$) et ceux des arbres de Noël (30 M$), on mesure facilement l’importance de ces forêts pour l’économie des régions. Depuis une cinquantaine d’années, le gouvernement du Québec met de l’avant des incitatifs financiers pour encourager les propriétaires à aménager leur boisé afin d’en accroître la valeur économique et écologique. «Chaque propriétaire prend des décisions individuelles en fonction de ses objectifs personnels, indépendamment des autres propriétaires. À la fin, toutefois, la somme de ces décisions a des répercussions sur l’industrie forestière, sur les autres usages de la forêt et sur l’économie régionale. C’est pourquoi il est important de bien cerner qui sont ces propriétaires et ce qui les motive à posséder et à aménager un boisé», explique l’une des auteurs de l’étude, Nancy Gélinas.

Pour y arriver, Marc-André Côté, de la Fédération des producteurs forestiers du Québec, la professeure Gélinas et l’étudiante Ariane Généreux-Tremblay, du Département de sciences du bois et de la forêt, et Diane Gilbert, du Groupe AGÉCO, ont utilisé les données d’une enquête menée auprès de 562 personnes qui possédaient un boisé depuis 10 ans ou moins (nouveaux propriétaires) et de 1 161 personnes qui étaient propriétaires d’un boisé depuis plus de 20 ans (propriétaires de longue date). Leurs analyses montrent que la moitié des nouveaux propriétaires ont un diplôme collégial ou universitaire contre 30% des propriétaires de longue date. Ils sont aussi deux fois plus nombreux à disposer d’un revenu familial de plus de 60 000$ (44% vs 23%). Le tiers des nouveaux propriétaires résident à plus de 10 km de leur boisé contre 19% pour les producteurs de longue date; cette distance dépasse même 100 km pour 11% des nouveaux propriétaires contre 4% dans l’autre groupe. Les objectifs des nouveaux propriétaires sont moins fréquemment liés à la production de bois d’oeuvre, de pulpe ou de bois de chauffage. En fait, 20% d’entre eux ne font aucune récolte de bois contre 12% pour les propriétaires de longue date, une tendance inquiétante pour les usines de transformation du bois qui comptent sur cette source d’approvisionnement.

Lire la suite de l'article écrit par Jean Hamann dans Le Fil, journal de la communcauté universitaire

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Les universitaires à la rescousse de l’industrie du bois d’œuvre

23 janvier 2017

L'industrie forestière craint un nouveau conflit du bois d'œuvre et l'arrivée de Donald Trump au pouvoir pourrait réserver bien des surprises aux producteurs québécois. Réunis à l'Université Laval à l'occasion de la 38e Semaine des sciences forestières, les universitaires en foresterie et en architecture tentent de trouver des solutions afin de prévenir une potentielle crise dans leur domaine.

Voyez le reportage et lisez l'article complet sur le site ici.radio-canada.ca
Un reportage de Jérémie Legault.

Image tirée du reportage de Jérémie Legault.

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Portrait d'une ingénieure du bois: Tatjana Stevanovic

19 janvier 2017

Tatjana Stevanovic est ingénieure, directrice du baccalauréat en génie du bois et professeure-chercheure en chimie du bois à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université Laval. La revue des ingénieurs (PLAN) a fait paraître un article sur elle qui présente son parcours ainsi que le baccalauréat en génie du bois.

De Belgrade à Québec

[...] En 1996, alors qu’elle était au Wood Research Center à l’Université du Nouveau- Brunswick pendant une année sabbatique, elle apprend que l’Université Laval recrute un professeur en chimie du bois. « Dans la
description du poste, il ne manquait que ma photo ! » s’exclame-t-elle. Elle ne connaissait pas l’Université Laval, mais elle postule à ce poste qui lui allait comme un gant et l’obtient. En 1997, il y a 19 ans, elle entame ainsi une deuxième carrière en chimie du bois et en transformation chimique du bois (pâtes et papiers), une carrière ouverte sur la multidisciplinarité.

Faire plus que de la pâte à papier

Elle est recrutée comme professeure de chimie du bois, des pâtes et papiers et de physico-chimie appliquée au bois. En 1997, la chimie du bois tourne essentiellement autour des pâtes et papiers. Mais pour elle, la chimie du bois, c’est aussi la lignine, cette molécule extraordinaire qui permet aux arbres de tenir debout, et les polyphénols extractibles présents dans les différents tissus des arbres, ces mêmes molécules bénéfiques pour la santé qu’on trouve dans les fruits et les légumes. Elle se lance alors dans la bioraffinerie pour extraire et valoriser ces molécules à partir des résidus de l’industrie forestière. « Avec ces résidus, il y a autre chose à faire que de la pâte à papier », assure-elle.

Baccalauréat coopératif en génie du bois

Le génie du bois, c’est tout ce qu’on fait avec le matériau une fois extrait de la forêt, de la charpente pour la construction verte jusqu’à la conception de nouveaux matériaux et procédés de transformation du bois. » Il faut donc connaître les propriétés mécaniques et chimiques du bois ainsi que les divers procédés de transformation jusqu’aux matériaux composites.

[...] Le programme de génie du bois alterne stage en entreprise et enseignement. Les étudiants doivent effectuer trois stages de trois mois non crédités mais rémunérés par les entreprises. Entre 15 et 20 étudiants sont formés chaque année et tous trouvent un emploi dans l’industrie de la transformation du bois. Ce programme est reconnu par le Bureau d’agrément d’Ingénieurs Canada.

Consultez l'article complet dans le revue PLAN des ingénieurs. (pp.28-29)

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L'Université Laval se mérite un prix en Education en développement durable

19 janvier 2017

L'Université s'est distinguée par son approche en développement durable comme mode de vie pour tous les membres de la communauté universitaire. En effet, l’Université Laval a remporté en décembre la médaille d’argent dans la catégorie Life Sciences du concours ReImagine Education pour sa démarche globale en développement durable (DD). L’Université s’est distinguée par son approche en développement durable comme mode de vie pour tous les membres de la communauté universitaire, et ce, dans 10 actions clés, dont la formation, la recherche, le déplacement durable et les saines habitudes de vie.

Suivant sa mission d’éducation, l’Université souhaite que les membres de sa communauté deviennent des agents de changement en proposant une approche globale en formation. Ainsi, les étudiants des programmes de baccalauréat sont initiés aux enjeux du DD au cours de leur cheminement scolaire. De plus, 382 cours sont reconnus comme des cours en développement durable dans plus de 75 programmes. Soulignons que 527 universités provenant de 56 pays avaient déposé leur candidature pour les ReImagine Education Awards.

Consultez l'article complet paru dans Le Fil, journal de la communauté universitaire.

La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique offre d'ailleurs plusieurs programmes d'études en lien avec le développement durable et de nombreux cours sont certifiés DD. De plus, la Faculté a un souci constant de participer à la protection de l’environnement et à un développement durable du territoire. Elle y contribue concrètement par ses programmes de formation, par ses activités de recherche, par ses infrastructures et par les actions qu’elle accomplit dans son milieu. Elle est d’ailleurs devenue la première faculté universitaire à obtenir la
reconnaissance d’Établissement vert Brundtland.

Consultez les programmes d'études de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique en environnement et développement durable.

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Visitez le Salon de la forêt 2017

19 janvier 2017

C’est sur le thème « La forêt, à la racine de nos inspirations» que se tiendra la 38e édition du  Salon de la forêt, les 21 et 22 janvier prochains au pavillon Alphonse-Desjardins de l'Université Laval. Chaque année, ce sont les étudiants du Département des sciences du bois et de la forêt de l’Université Laval qui organisent cet événement tout particulier dans le cadre de la Semaine des sciences forestières. Le Salon de la forêt constitue une occasion idéale pour avoir le plaisir d’y rencontrer plusieurs acteurs de la forêt québécoise, tous passionnés par la forêt et par le bois. Vous pourrez partager vos expériences et votre amour de la forêt, poser des questions, en apprendre plus sur cette ressource qui est si précieuse pour les Québécois, et ce en discutant avec des gens qui font de la forêt leur métier et leur passion.
 
Au programme, une foule d’activités vous y attendent. Vous pourrez entre autres visiter près d’une quarantaine de kiosques des plus intéressants, abordant des sujets aussi variés que la gestion des forêts, la recherche forestière, les métiers de la forêt, les produits du bois, les produits forestiers non ligneux, la faune ainsi que les équipements et la machinerie forestière. Nos étudiants animeront en plus un kiosque où vous pourrez apprendre et manipuler l'outillage forestier utilisé pour inventorier une forêt. De plus, cette année encore nous avons une très grande diversité au niveau des conférences. Si l’ornithologie, la construction écologique, la foresterie urbaine et la problématique de l’agrile du frêne et des insectes ravageurs dans les villes vous intéressent, vous serez servie ! En primeur cette année, nous aurons la chance d’accueillir deux entreprises forestières de chez nous, les Produits forestiers Résolu ainsi que le Groupe Rémabec. Il sera aussi possible d’encourager les équipes des différentes écoles de foresterie de la province qui s’affronteront dans les traditionnels jeux forestiers qui se dérouleront le samedi 21 janvier. Assistez à l’incroyable défi Cecobois, où vous aurez la chance d’admirer le talent d’étudiants en génie du bois, architecture et génie civil qui devront concevoir et construire une structure en bois en deux jours. Activités de plantation et cinéma forestier seront aussi au rendez-vous ! Finalement, des expositions de photos et d'œuvres peintes inspirées de la forêt seront présentées aux visiteurs. Tous sont invités au Salon de la forêt, les grands comme les tout-petits. Des activités jeunesse seront offertes gratuitement pour les plus jeunes. Amenez toute votre petite famille! 
 
Autre activité organisée par la Semaine des sciences forestières : le Colloque Kruger. Celui-ci se déroulera quelques jours après la tenue du Salon, soit le jeudi 26 janvier 2017, avec pour thème « Les forêts canadiennes, d’ouest en est ». Durant cette journée, une série de conférenciers-invités venus de partout au Canada ou y ayant voyagé vous présenteront le fonctionnement des autres provinces par rapport au Québec. Le Colloque traitera également des actions posées au niveau national comme le commerce extérieur ou les actions du plan carbone canadien.
 
Découvrez les détails du Salon de la forêt
 
Où : pavillon Alphonse-Desjardins de l'Université Laval
Quand : la fin de semaine du 21 et 22 janvier 2017
ENTRÉE GRATUITE
 

Renseignements :
Virginie Houle
(418) 656-2131, poste 8807
virginie.houle.2@ulaval.ca
http://ssf.ffgg.ulaval.ca/

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Deux modèles de réussite autochtone dans le domaine de la foresterie

19 janvier 2017

Au Canada, les tenues forestières concédées aux communautés autochtones représentent une possibilité annuelle de coupe d’environ 20 millions de mètres cubes, soit 10,4% de la possibilité nationale. Pour ces communautés, l’entrepreneuriat peut contribuer à l’amélioration des conditions socioéconomiques, au développement culturel et au contrôle des activités sur leurs territoires traditionnels.

Lors de la conférence «L’entrepreneuriat forestier dans les communautés autochtones du Québec», le professeur Jean-Michel Beaudoin, du Département des sciences du bois et de la forêt, présentera deux modèles de réussite autochtone dans le domaine. Il discutera également des moyens à mettre en oeuvre pour répondre aux attentes des Premières Nations et favoriser une foresterie plus durable.

Jeudi 26 janvier, de 10h30 à 12h, à la salle Lionel-Daviault du Centre de foresterie des Laurentides. Entrée libre.

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Adieu nobles résineux?

13 janvier 2017

Les arpenteurs qui ont dressé les premiers cadastres dans la vallée de la Gatineau ne soupçonnaient sûrement pas que les renseignements qu’ils colligeaient dans leurs carnets de terrain allaient être essentiels à une étude scientifique publiée deux siècles plus tard dans la revue Forests. Pourtant, c’est grâce aux précieuses informations contenues dans ces documents que l’étudiant–chercheur Jason Laflamme, maintenant à l’emploi du ministère de la Forêt, de la Faune et des Parcs (MFFP), sa directrice Alison Munson, du Département des sciences du bois et de la forêt et du Centre d’étude de la forêt, Dominique Arseneault, professeur à l’UQAR et chercheur au Centre d’études nordiques, et Pierre Grondin, du MFFP, ont pu documenter l’importante métamorphose forestière qu’a connue cette région à la suite de la colonisation.

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Texte: Jean Hamann
Photo: F.X. Labelle/Bibliothèque et Archives Canada

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Découvrez les activités de recherche de CentrEau.

10 janvier 2017

À l’initiative de l’Institut Hydro-Québec en environnement, développement et société (Institut EDS), et sous l’impulsion de la Faculté de sciences et de génie, de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, et de la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation, une assemblée de professeurs crée officiellement CentrEau le 4 avril 2014. Plusieurs professeurs-chercheurs de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique participent aux activités du Centre. Nous vous invitons à consulter le rapport annuel 2015-2016 du Centre de recherche sur l'eau afin de découvrir ses activités et ses axes de recherche.

Découvrez les activités du Centre de recherche sur l'eau (CentrEau) de l'Université Laval

Rapport annuel 2015-2016