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Actualités

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Subventions de mobilité et de développement de partenariat en foresterie autochtone

19 décembre 2018

La Chaire de leadership en enseignement en foresterie autochtone est heureuse d'annoncer le retour des subventions de mobilité et de développement de partenariat.  Les subventions visent à appuyer des projets de petite envergure ou la phase initiale de projets de plus grande envergure. Plus spécifiquement, les objectifs des Subventions de mobilité et de développement de partenariat en foresterie autochtone sont de :

  • Favoriser la compréhension mutuelle des connaissances issues des sciences forestières ainsi que des savoirs locaux autochtones;
  • Soutenir la création de connaissances et d’outils pour le bénéfice mutuel des partenaires autochtones de la CLE, des étudiants et des chercheurs de l’Université Laval ainsi que du grand public ;
  • Favoriser une gestion et un aménagement forestier qui intègrent les intérêts, les valeurs et les besoins des Premières Nations et de leurs partenaires.

Au total, 25 000$ sont offerts en subventions. Ce montant permet la réalisation de cinq projets, soit un projet par communauté partenaire. Chaque projet sélectionné devra avoir des impacts bénéfiques pour au moins une des communautés membres de la CLE en foresterie autochtone.

Pour en savoir plus sur les Subventions de mobilité et de développement de partenariat en foresterie autochtone. 

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25 ans de service pour 3 employés de la Faculté!

12 décembre 2018

Yves Brousseau, du Département de géographie, Alison Munson et Martine Lapointe, du Département des sciences du bois et de la forêt faisaient partie des membres du personnel de l'Université ayant accumulé 25 ans de service en 2016. Une cérémonie a eu lieu le 6 décembre dernier pour souligner cet accomplissement en présence de la rectrice, Mme Sophie d'Amours. Les personnes honorées se sont vu remettre, comme marque de reconnaissance, une estampe numérique issue des collections de l’Université Laval. Ils ont pu choisir entre une œuvre de l’artiste peintre Benoît Côté, intitulée Coin des Grisons et Sainte-Geneviève, et une autre, sans titre, peinte par l’artiste et professeur Omer Parent, qui fut, en 1970, le premier directeur de l’École des arts visuels.

Yves Brousseau est responsable de formation pratique et directeur associé des programmes de 1er cycle en géographie et tourisme durable

Alison Munson est professeur titulaire au Département des sciences du bois et de la forêt.

Martine Lapointe est technicienne experte au Département des sciences du bois et de la forêt.

Crédit photo: Francis Bouchard

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Deux étudiants de la Faculté se méritent une bourse de leadership et développement durable

28 novembre 2018

À l’occasion de la 9e cérémonie du Programme de bourses de leadership et développement durable qui s’est tenue hier soir, la rectrice de l’Université Laval, Sophie D’Amours, a remis 700 000 $ en bourses aux 65 lauréates et lauréats. Novateur et unique au Québec, le Programme de bourses de leadership et développement durable s’inscrit dans la volonté de l'Université Laval d’encourager les initiatives qui contribuent au mieux-être et au développement durable de la société d’ici et d’ailleurs. Il vise à reconnaître le talent, le dépassement de soi et l’implication personnelle de personnes étudiantes qui continueront à exercer leur leadership durant toute la durée de leur parcours universitaire. Il soutient financièrement celles qui se sont démarquées par leur esprit d’initiative et leurs réalisations artistiques, entrepreneuriales, environnementales, scientifiques, sociales, humanitaires ou sportives. La valeur des bourses décernées varie en fonction du cycle d’études et de la durée du programme : 6 000 $ répartis sur trois ans au baccalauréat, 10 000 $ sur deux ans à la maîtrise et 30 000 $ sur trois ans au doctorat.

Deux étudiants de la Faculté se sont mérités cette bourse. Voici leur profil:

Aimée Diop, étudiante à la maîtrise en biogéosciences de l'environnement

Chercheuse environnementaliste engagée, Aimée Diop s’est opposée à la construction d’une infrastructure de grande envergure au sein du Technopôle, un écosystème naturel et la plus grande zone humide de Dakar. Le rapport scientifique très étoffé qu’elle a déposé a contribué à convaincre les autorités sénégalaises à délocaliser le projet vers un autre site. Faire bénéficier la population du Sénégal, son pays d’origine, de ses vastes connaissances en matière de gestion des ressources naturelles et de protection de l’environnement est l’une des principales motivations d’Aimée. Si son travail repose sur des hypothèses scientifiques qu’elle aura pris soin de confirmer avec rigueur et finesse, ses actions sont aussi animées par des valeurs humanistes et un profond désir d’apporter des solutions durables aux enjeux environnementaux.
 
 

Noah Rouyère, étudiant au baccalauréat en environnements naturels et aménagés

Noah Rouyère est de ceux qui ont très tôt relevé leurs manches pour soutenir la cause de l’environnement. Pour le Collectif Lèche-Babines, il a récolté entre autres des denrées périssables et s’est occupé de les distribuer afin d’éviter le gaspillage alimentaire. À l’occasion d’un stage sur la biodiversité tropicale au Honduras, offert par le Cégep du Vieux Montréal, Noah a organisé une soirée de financement et en a coordonné les préparatifs. Vice président en développement durable à l’Association étudiante de foresterie et d’environnement de l’Université Laval, son leadership s’y exerce à travers des actions écoresponsables concrètes, comme l’organisation d’ateliers sur le vermicompostage. Ses collaborateurs reconnaissent en lui un leader charismatique, enthousiaste et ouvert aux autres.
 
 
 
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Les défis et opportunité de la filière biomasse

23 novembre 2018

«Plus de 150 personnes se sont rassemblées pour assister à la 2e conférence sur le chauffage à la biomasse forestière résiduelle, présentée à Québec le 8 novembre. D'entrée de jeu, Amélie Saint-Laurent Samuel, porte-parole de Vision Biomasse Québec (VBQ), a souligné l'importance de ce regroupement qui compte une trentaine de membres pour développer une filière exemplaire et performante et pour élever les standards en termes de chaufferies. (...) La filière devra toutefois répondre à de nombreux défis, dont celui de mettre plus d'emphase sur la qualité de la biomasse, estime Evelyne Thiffault, professeure adjointe et membre du Centre de recherche sur les matériaux renouvelables, Département des sciences du bois et de la forêt, Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, Université Laval. « Il n'y a pas de raison de ne pas contrôler la qualité de la biomasse parce que l'information existe », a-t-elle dit en faisant référence à un rapport écrit avec plusieurs experts internationaux sur le prétraitement de la biomasse. Et avec les faibles coûts de l'énergie au Québec, « on n'a pas vraiment le droit à l'erreur » quand vient le temps de faire une conversion énergétique, ajoute-t-elle»

Extrait du texte de Guillaume Roy, Journaliste pour Le Maître papetier
Lisez l'article intrégral>>

 

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Colloque «Le paysage et l'exploitation des ressources naturelles au Québec»

22 novembre 2018

Le colloque «Le paysage et l'exploitation des ressources naturelles au Québec ; enjeux et perspectives»  se tiendra à l'Université Laval le jeudi 2 mai 2019.

Le comité organisateur sollicite des propositions de communications explorant entre autres les aspects suivants :

  • Comment est mobilisée la problématique paysagère dans les projets d’exploitation des ressources naturelles (projets miniers, interventions forestières, projets de développement éolien, projets hydroélectriques ou autres) ?
  • Quels sont les approches et les outils actuellement utilisés pour la prise en compte du paysage dans l’élaboration ou la réalisation de projets d’exploitation de ressources naturelles ?
  • Quelle place le droit, en tant que domaine ayant pour objet de régir les relations sociales, accorde-t-il au paysage et, notamment, à la qualité visuelle des projets miniers ?
  • Quelle place le paysage tient-il dans l’acceptabilité sociale des projets d’exploitation des ressources minières, forestières, halieutiques ou autres ?
  • Qu’est-ce qu’une meilleure connaissance des perceptions sociales des paysages façonnés par l’exploitation des ressources naturelles peut nous apporter en termes d’élaboration de projets d’exploitation des ressources naturelles ?
  • Quelles seront les approches à privilégier dans le futur en matière de paysage dans l’exploitation des ressources naturelles ?

Les propositions de communications (300 mots, incluant une courte notice biographique) doivent être transmises à Étienne Berthold (etienne.berthold@ggr.ulaval.ca), professeur au département de géographie de l’Université Laval au plus tard le vendredi 14 décembre 2018 à 17h.

Pour plus de détails sur l'événement, veuillez consulter le pdf de l'appel à communications.

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Harmonisation et partage du territoire, pour une forêt accessible à tous

21 novembre 2018

«Les forêts représentent presque la moitié de la superficie totale du Québec. Toutefois, cette ressource majeure de l’économie est mal connue. Quel est l’état des lieux aujourd’hui? Comment fait-on l’exploitation raisonnable et contrôlée, l’aménagement, le reboisement, la protection de la forêt? Comment fait-on le point sur la question actuelle de la main-d’œuvre, sans oublier les efforts investis dans la recherche et l’innovation? Dans cette série, le Groupe Capitales Médias aborde ces questions.»

Lisez l'article de Johanne Fournier paru dans le Devoir >>

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Louis Bélanger obtient le Prix carrière en enseignement

13 novembre 2018

Le prix Carrière en enseignement reconnaît l’engagement et la constance d’une ou d’un membre du corps professoral qui a, depuis plus de vingt ans, fait preuve de constance et d’excellence dans son enseignement. Il honore également la qualité, la pertinence, la diversité et le caractère novateur de l’enseignement. Avec passion et rigueur, Louis Bélanger accompagne les étudiantes et les étudiants dans leurs apprentissages dans plusieurs cours et particulièrement à la fin de leur parcours de formation. Habilement élaborées par monsieur Bélanger, les activités pédagogiques liées à ces cours intégrateurs visent le développement de compétences professionnelles. Ainsi, il les expose à des expériences d’apprentissage pratique riches de sens notamment à travers des études de cas et des exercices de résolution de problèmes dans lesquels les apprenantes et les apprenants sont amenés à interagir avec des collaboratrices et des collaborateurs des milieux professionnels. Soucieux de la qualité des apprentissages, Louis Bélanger est reconnu pour ses habiletés à susciter la réflexion chez les étudiantes et les étudiants et à développer leur esprit critique tout en respectant la diversité de leurs points de vue. Bien conscient de la valeur de l’évaluation formative dans l’apprentissage, il s’assure de les accompagner en leur fournissant une rétroaction constructive et fréquente sur leurs travaux afin de les guider vers la réussite.  

Visionnaire, monsieur Bélanger est un leader dans l’aménagement durable des forêts et est l’un des précurseurs de la notion d’aménagement écosystémique des forêts. Cette qualité l’a mené à être le maitre d’œuvre de l’élaboration du premier programme de baccalauréat intégré en environnements naturels et aménagés au Québec.

L’ensemble des réalisations de monsieur Bélanger démontre que l’apprentissage des étudiantes et des étudiants est au cœur de ses préoccupations. Son dévouement, son esprit d’innovation et sa passion font de lui un professeur inspirant et dont la carrière est des plus remarquables.

Découvrez le profil complet de Louis Bélanger et du Prix carrière en enseignement

 

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La forêt Montmorency: un modèle d’aménagement durable

12 novembre 2018

«Plus vaste forêt d’enseignement et de recherche au monde, la forêt Montmorency, située à 45 km au nord de Québec, est considérée comme un modèle d’aménagement durable. En plus d’être un milieu d’enseignement et de recherche depuis 1964, elle est ouverte au public.»

Lisez l'article de Johanne Fournier paru dans journal Le Soleil >>

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Journée SIG Université Laval 2018

09 novembre 2018

Le 19 novembre 2018, dès 12h30 aux Pavillons Alphonse-Desjardins et Maurice-Pollack! Encore cette année, la journée SIG Université Laval vous propose un programme chargé en découvertes!

  • Conférence d'ouverture par M. Christophe Charpentier d'Amazon
  • Conférences sur des sujets variés : intelligence artificielle, réalité augmentée, données massives, logistique urbaine, hydrographie et aléas climatiques
  • Concours cartographique Dessine-moi ton quartier, une centaine d'oeuvres réalisées par des élèves du Collège Stanislas de Québec
  • Concours de vulgarisation scientifique Mon projet en 360°. Quelques places encore disponibles! Étudiants gradués, mettez-vous au défi!
  • Stations d'expérimentation de technologies géospatiales

Entrée libre. Cette activité est ouverte à tous!

Pour plus d'informations : Journée SIG Université Laval 2018.

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Valoriser la biomasse forestière

02 novembre 2018

Le gaz naturel renouvelable fait son entrée à l’Université Laval. Le 19 octobre, l’établissement a annoncé un partenariat avec Énergir visant à promouvoir cette solution énergétique. Pour les deux prochaines années, l’Université s’engage à remplacer 8% de sa consommation annuelle de gaz naturel, soit un million de mètres cubes, par du gaz naturel renouvelable. Ce sont donc des déchets organiques, comme les résidus alimentaires, agricoles ou industriels, qui, une fois transformés, alimenteront une partie des infrastructures sur le campus.

Extrait de l'article de Matthieu Dessureault paru dans lefil
Pour lire l'article >>

Photo de Mathile Routhier

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R à Québec 2019 lance son appel de propositions d’ateliers et de conférences

23 octobre 2018

Répondez à notre appel de propositions d’ateliers et de conférences pour R à Québec 2019. Les deux premières journées seront consacrées aux ateliers de formation que vous proposerez et la troisième journée à des conférences traditionnelles. Il y a donc deux appels à contribution cette année, chacun avec son propre formulaire de proposition. Visitez le site de R à Québec 2019 pour tous les détails.

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Inauguration du Laboratoire Pierre-Richard en hommage à un grand donateur

02 octobre 2018

Le 17 septembre dernier, la direction de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique et celle de la Forêt Montmorency ont rendu hommage au professeur Pierre Richard (B.Sc. Foresterie-1967, D. Sc. Nat.-1976) dans le cadre d’une activité de reconnaissance très touchante qui s’est tenue à la Forêt Montmorency. M. Richard a récemment posé un geste de soutien face au fonds de la Forêt Montmorency, geste qui a été reconnu par la désignation d’un laboratoire à son nom. L’inauguration de cet espace s’est déroulée en présence de plusieurs diplômés et amis, de quelques membres de l’équipe scientifique du Ministère des Forêts de la Faune et des Parcs et du Centre forestier des Laurentides. M. Richard a apporté une contribution remarquable au domaine de la palynologie au fil de sa longue carrière de chercheur. Il est fier de rappeler que sa passion pour ce champ d’étude est née à l’été 1966, dans ce même laboratoire qui est aujourd’hui désigné à son nom. Le professeur Richard prononcera une conférence portant sur l’histoire climatique du Québec depuis la dernière glaciation -  le jeudi 15 novembre, heure et lieu à confirmer.

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Les recherches de Tatjana Stevanovic sur la lignigne : une découverte qui promet!

25 septembre 2018

Après plusieurs années de recherche, Tatjana Stevanovic et son équipe ont mis au point un procédé qui utilise l’éthanol et l’eau comme solvants pour extraire la lignine pure des copeaux de bois.  «J’ai tout de suite entrevu les possibilités de valorisation de ce produit naturel, notamment comme source renouvelable de carbone» révèle l’ingénieure.

Dans cet article du magazine Contact, apprenez-en plus sur ses recherches, ainsi que sur d'autres inventions faites à l'Université Laval.

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Extrait de l'article de Nathalie Kinnard, Contact

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De l’huile sur le feu?

20 septembre 2018

La récupération des arbres défoliés ou morts pendant une épidémie de la tordeuse pourrait accroître la vulnérabilité des forêts à cet insecte ravageur.

Récolter les arbres défoliés ou morts pendant une épidémie de la tordeuse des bourgeons de l’épinette peut sembler un moyen raisonnable de limiter les pertes occasionnées par cet insecte, mais cette pratique pourrait favoriser l’émergence de peuplements forestiers plus vulnérables à de nouvelles épidémies. C’est ce que suggère une étude publiée par une équipe de chercheurs, Anne Cotton-Gagnon et Martin Simard, de l’Université Laval, Louis De Grandpré, de l’UQAM, et Daniel Kneeshaw, du Service canadien des forêts.

Lire l’article complet de Jean Hamann du journal Le fil 

PHOTO : Martin Simard

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Inscrivez-vous aux retrouvailles 2018 de l'Université Laval

18 septembre 2018

Les Retrouvailles 2018 de l'Université Laval auront lieu le 20 octobre 2018 pour la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique. Un cocktail a lieu au Pavillon Gene-H.-Kruger, salle 2320-2330 à 17h30. C'est une belle occasion pour retrouver les anciens de votre cohorte, de réseauter et de passer une soirée agréable. Inscrivez-vous sans tarder.

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Prédire l’avenir de la forêt boréale grâce à des oiseaux

18 septembre 2018

Une équipe de chercheurs tente de prédire l'évolution de la forêt boréale entre le lac Saint-Jean et le réservoir de la Manicouagan, sur la Côte-Nord. Elle le fera en observant le pic à dos noir qui raffole des vieilles forêts de conifères et des arbres morts. Selon Junior Tremblay, chercheur au Centre d'étude de la forêt de l'Université Laval, la modélisation de l'habitat du pic tient compte des opérations forestières, des ravages d'insectes et des feux provoqués par les changements climatiques.

Lire l'article complet de Laurie Dufresne de Radio-Canada

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Premier atlas Web de la vulnérabilité de la population québécoise aux aléas climatiques

17 septembre 2018

Une équipe de chercheurs et de chercheuses des Départements de géographie et sciences géomatiques de l’Université Laval, en collaboration avec Ouranos, lance aujourd’hui un atlas Web sur la vulnérabilité de la population québécoise aux aléas climatiques. Sous forme de cartographie Web, cet atlas facile d’utilisation est accessible au grand public. Il s’agit d’une première puisque très peu d’information et aucune cartographie sur le sujet ne sont actuellement disponibles pour l’ensemble du territoire québécois.

Initié à l’automne 2015, le projet de recherche qui a donné naissance à cet atlas avait pour objet d’étude la distribution géographique de la vulnérabilité de la population québécoise aux vagues de chaleur et aux aléas hydrométéorologiques.

À partir de données socioéconomiques, démographiques, caractérisant l’environnement bâti et l’accessibilité géographique à certains services, des indicateurs et indices permettant d’estimer la vulnérabilité aux vagues de chaleur et aux aléas hydrométéorologiques ont été calculés. Les résultats issus des analyses statistiques ont permis de réaliser une cartographie de la vulnérabilité à l’échelle de la portion habitée des aires de diffusion des municipalités québécoises.

L’ensemble des couches d’information géographique contenant les indices de vulnérabilité et les différentes variables constitutives ont été incorporées au sein d’applications Web destinées au grand public. Un site Web élaboré par l’équipe de recherche explique clairement ce que représentent ces cartes et l’usage que l’on peut en faire. Les données géographiques issues des analyses ont aussi été implémentées dans l’application Territoires du Ministère des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire (MAMOT).

Site Web de l’atlas : www. atlasdelavulnerabilite.ca
Facebook: www.facebook.com/atlasdelavulnerabilite

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Projet d’enseignement novateur à la Forêt Montmorency : le CFP de Forestville et l’Université Laval unissent leur expertise

13 septembre 2018

Le Centre de formation professionnelle (CFP) de Forestville et la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval amorceront, en novembre prochain, un projet d’enseignement novateur qui permettra aux deux établissements d’enrichir leurs formations respectives et aux étudiantes et aux étudiants d’être formés sur un site exceptionnel.

En effet, c’est sur le site de la Forêt Montmorency, la plus grande forêt d’enseignement et de recherche universitaire au monde située dans la Réserve faunique des Laurentides, que les partenaires offriront deux formations des programmes d’études professionnelles, soit Abattage et façonnage des bois et Conduite de machinerie lourde en voirie forestière

Les formations permettront aux étudiantes et aux étudiants de niveau professionnel et universitaire d’avoir une vue d’ensemble des rôles et responsabilités de chacun des acteurs dans le processus de travaux forestiers et de réaliser des essais technologiques durant les opérations forestières.

Un plus à divers niveaux

Dans le cadre de ce projet, les deux établissements d’enseignement simuleront les activités de planification, de réalisation et de suivi des travaux d’une mini-entreprise, ce qui rendra les apprentissages plus concrets pour les futurs ingénieurs forestiers qui seront amenés à gérer des équipes de travail et à optimiser l’utilisation des ressources forestières. « La Forêt Montmorency a été créée dans l’esprit d’être le meilleur reflet possible des réalités inhérentes au monde forestier. Ce projet ajoute des paramètres encore plus concrets pour les étudiants », mentionne Hugues Sansregret, directeur des opérations de la Forêt Montmorency.

De plus, la présence des étudiantes et des étudiants, ainsi que de la machinerie du CFP de Forestville sur le site de la Forêt Montmorency viendra bonifier la collecte de données de recherche en lien avec la calibration des têtes d’abattage. La même logique peut également s’appliquer à des formations données en voirie forestière.

Enfin, les échanges avec les formateurs du CFP de Forestville sur les contraintes des différents travaux permettront de cerner et de mieux comprendre l’exécution des travaux. « Pour les élèves du CFP de Forestville, cette collaboration représente également une occasion privilégiée de vivre une véritable expérience de camp forestier sur le site même de la Forêt Montmorency, où il sera possible pour eux d’être hébergés », indique le directeur du CFP de Forestville, Michel Savard.

Projet pilote de trois ans

Dans une communication adressée récemment à la Commission scolaire de l’Estuaire, le ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, M. Sébastien Proulx, a salué l’initiative des deux partenaires du projet qui présente, selon lui, « un intérêt pédagogique » digne de mention. « Les élèves ainsi formés pourront mieux situer leur rôle en fonction de celui des autres travailleurs de la foresterie, tout en ayant une meilleure idée des perspectives de carrières qui s’offrent à eux ».

La délocalisation de la formation des programmes d’études professionnelles Abattage et façonnage des bois et Conduite de machinerie lourde en voirie forestière sur le territoire de la Forêt Montmorency est un projet pilote de trois ans. Ce projet permettra de former un maximum de 12 élèves par année pour le premier programme et de 24 pour le second.

Sources :            

Patricia Lavoie
Agente aux communications
Commission scolaire de l’Estuaire
418 589-0806, poste 4860
patricia.lavoie@csestuaire.qc.ca  

Andrée-Anne Stewart
Responsable des relations avec les médias
Université Laval
T. : 418 656-3952
C. : 418 254-3141
andree-anne.stewart@dc.ulaval.ca  

Demandes d’entrevues pour la Forêt Montmorency :
Julie Moffet
julie.moffet@ffgg.ulaval.ca

 

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Valoriser les plantes de sous-bois

05 septembre 2018

Souvent négligées par rapport aux arbres, les plantes de sous-bois sont pourtant des partenaires indispensables à la forêt, car elles participent au recyclage d’éléments comme le carbone et l’azote ainsi qu’au cycle de l’eau. Elles ne sont toutefois pas insensibles aux perturbations environnementales. Pour tenter de prédire l’adaptation de ces plantes aux changements climatiques, Alison Munson, professeur titulaire au Département des sciences du bois et de la forêt de l’Université Laval, et Isabelle Aubin, de Ressources naturelles Canada, ont mené une vaste étude pancanadienne dans la forêt boréale.

À travers tout le pays, cinq espèces communes ont été récoltées afin d’observer leurs changements de comportement selon leur environnement. C’est ce qu’on appelle la « plasticité ». Ainsi, en fonction du climat dans lequel elle évolue, une plante aura tendance à modifier certaines de ses caractéristiques pour s’adapter localement. Quatre de ces traits ont été évalués : les nutriments dans les feuilles et dans les racines, la longueur spécifique des racines et la surface spécifique des feuilles. Les analyses n’ont pas permis d’établir un modèle d’adaptation général pour toutes les espèces selon la région où elles se trouvent, mais il semble que les racines et les feuilles réagissent différemment aux perturbations liées au climat. De plus, les chercheuses ont découvert des espèces hybrides, ce qui pourrait constituer une stratégie d’adaptation efficace aux changements climatiques.

À la lumière de ces résultats, la forêt boréale s’avère un milieu résilient, puisqu’elle est régulièrement soumise à des perturbations comme des incendies de forêt. Étant donné leur rôle de premier plan, les plantes de sous-bois pourraient donc s’intégrer dans les modèles qui tentent de prédire l’effet des changements climatiques sur la dynamique des forêts et le cycle du carbone. En effet, certaines espèces ont une énorme capacité de stockage du carbone et pourraient modifier ce cycle dans un contexte de réchauffement global. Redonner leurs lettres de noblesse à ces plantes permettrait donc de faire des prévisions plus justes.

Source: Fonds de recherche du Québec, Impacts de la recherche, scientifique en chef

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Une future étudiante de la Faculté, Monica Gagnier, reçoit la prestigieuse bourse Schulich Leader

23 août 2018

Monica Gagnier étudiera au baccalauréat en aménagement et environnement forestiers qui donne accès au titre d'ingénieur forestier. Diplômée de l’École secondaire catholique de Casselman, en Ontario, elle a été sélectionnée par l’Université Laval pour recevoir la prestigieuse bourses d’études Schulich Leader en raison de ses réussites exceptionnelles (implication dévouée au niveau scolaire, sportif et communautaire, et leadership naturel), critère principal du choix des récipiendaires de ces bourses.

D'une valeur de 80 000 à 100 000$, les bourses d’études Schulich Leader sont les plus importantes bourses en science, technologie, ingénierie et mathématiques (STIM) au Canada. Cette année, parmi 350 000 candidats potentiels à travers le Canada, 1 400 étudiants ont été recommandés comme candidats Schulich Leader. Finalement, 50 d’entre eux ont été nommés récipiendaires de ces importantes bourses d’études. Deux de ces récipiendaires viendront étudier à l'Université Laval. 

Nous souhaitons la bienvenue à Monica Gagnier et du succès dans sa vie étudiante à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique !

Pour en savoir plus sur la bourse Schulich Leader

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Mme Jacynthe Pouliot est nommée à titre de vice-doyenne à la recherche

21 août 2018

Mme Jacynthe Pouliot est nommée à titre de vice-doyenne à la recherche par intérim à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique. Elle est professeure au Département des sciences géomatiques de l’Université Laval depuis 2001 où elle a œuvré à titre de directrice du Département de juin 2011 à mai 2016. Elle est chercheur régulier au Centre de recherche en géomatique et membre de l’Ordre des arpenteurs-géomètres du Québec depuis 1988.

Voir le profil de Mme Jacynthe Pouliot 

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À l’affût de l’agrile du frêne

10 juillet 2018

Cet insecte ravageur fait l'objet d'un dépistage soutenu sur le campus cet été. Avez-vous remarqué ces étranges structures ressemblant à un empilement d’entonnoirs lié à de longues cordes qui ont fait leur apparition dans certains arbres du campus? Il s’agit de pièges pour l’agrile du frêne, un insecte asiatique qui, depuis quelques années, fait des ravages dans les populations de frênes en Amérique du Nord. Le campus de l’Université Laval est l’un des sites où le Service canadien des forêts a déployé des pièges qui servent à capturer cet insecte afin de suivre sa progression dans la région de Québec. [...] 

L’automne dernier, un inventaire réalisé pour le compte du comité de gestion de l’agrile du frêne de l’Université Laval par Nicolas Legault, étudiant au Département des sciences du bois et de la forêt, a établi que le campus abrite plus de 3 000 frênes. «Pour 2018, nos efforts portent sur la détection de l’insecte et sur le repérage des frênes remarquables qui pourraient faire l’objet d’un traitement préventif à l’aide de l’insecticide TreeAzin», souligne Guy Bussières, membre du comité et responsable de travaux pratiques et de recherche au Département des sciences du bois et de la forêt.

Lisez l'article complet sur l'agrile du frêne, par Jean Hamann, paru dans Le Fil.

Photo: Service canadien des forêts

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La nature sur grand écran

10 juillet 2018

À une époque où tout le monde a les yeux rivés sur son téléphone cellulaire, l’idée de décrocher quelques heures de ce sacro-saint appareil pour s’immerger dans un autre monde peut représenter une source d’angoisse pour plusieurs personnes. Et si on relevait la tête pour contempler la nature sur grand écran? C’est cette expérience que vous propose de vivre l’équipe des naturalistes de la Forêt Montmorency. En vedette de ce spectacle musical dont vous vous souviendrez longtemps: la faune de la sapinière à bouleau blanc de la Forêt Montmorency, située à moins de 70 km de Québec. [...]

Il existe évidemment d’autres façons de découvrir la forêt boréale que la manière artistique. Par exemple, l’activité «De la forêt à l’assiette» s’adresse à ceux et à celles que l’aspect culinaire intéresse. Accompagnés par Stéphane Plante, chargé de cours en botanique forestière à l’Université, les gens participent à une randonnée en forêt au cours de laquelle ils apprennent à démystifier certaines plantes du terroir boréal. Après le dîner à la cafétéria, où un mets boréal est à l’honneur, suit une démonstration d’extraction d’huile essentielle, animée par Bernard Riedl, professeur de chimie associé au Département des sciences du bois et de la forêt.

Lisez l'article complet par Renée Larochelle, paru dans Le Fil.

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Deux étudiantes de la Faculté honorés au Gala national Chapeau les filles volet Excelle science

27 juin 2018

Claudie-Maude Canuel, étudiante au baccalauréat en aménagement et environnement forestiers a reçu le grand Prix Excelle Science du ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation d'une valeur de 5000$ et Émilie St-Jean, finissante au baccalauréat en aménagement et environnement forestiers a reçu le grand Prix Excelle Science de 5000$ du ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur. La cérémonie de remise des prix s'est déroulée le 18 juin dernier à l'Assemblée nationale du Québec.

Le concours Excelle Science souligne la volonté et le travail des femmes inscrites au baccalauréat dans un programme de sciences et technologies menant à l'exercice d'un métier traditionnellement masculin. Félicitations à nos étudiantes!


Claudie-Maude Canuel au centre


Émilie St-Jean, 2e à partir de la droite

Source des photos: Facebook Chapeau, les filles!

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Journée nationale des peuples autochtones

21 juin 2018

En ce 21 juin, toute l’équipe de la Chaire de leadership en enseignement en foresterie autochtone tient à souligner la Journée nationale des peuples autochtones!

Depuis plusieurs années, la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) a comme objectif de créer un pôle d’excellence en partenariat avec les communautés autochtones. Notons, par exemple, une participation active au projet de Forêt modèle de Waswanipi qui visait à outiller les Cris afin de favoriser une prise en charge de l’aménagement durable des forêts, dans le respect du mode de vie des Cris. Tout récemment, la FFGG a célébré le lancement officiel d’une Chaire de leadership en enseignement (CLE) en foresterie autochtone (https://www.foresterieautochtone.ulaval.ca), qui a eu lieu à Mashteuiatsh en septembre 2017. De tels projets, qui placent au coeur des préoccupations le processus de réconciliation avec les peuples autochtones, sont autant d’occasions d’améliorer la formation et de faire avancer les connaissances.


Credit : Photo par Timothy Meinberg sur Unsplash

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Initiative pour stimuler l’industrie de la construction modulaire en bois au Québec

21 juin 2018

Le 19 juin, l’Université Laval a annoncé le lancement d’une initiative qui a pour but de contribuer au développement de l’industrie de la construction modulaire en bois au Québec. Le projet bénéficiera d’un financement de près d’un million de dollars réparti sur trois ans provenant du Conseil de recherches en sciences naturelles et génie du Canada (CRSNG), du gouvernement du Québec par le biais du créneau d’excellence Accord Bois Chaudière-Appalaches (BOCA), de la Société d’habitation du Québec (SHQ) et des partenaires industriels Maison Laprise, Pro-Fab, Ultratec, Soprema, Produits forestiers Résolu et FPInnovations. L’annonce a eu lieu en présence du ministre délégué aux Petites et Moyennes Entreprises, à l’Allègement réglementaire et au Développement économique régional, Stéphane Billette.

Le projet sera sous la supervision du professeur Pierre Blanchet, titulaire de la Chaire industrielle de recherche CRSNG sur la construction écoresponsable en bois à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval. Le professeur Blanchet et son équipe mettront au point des outils et des solutions technologiques qui permettront aux acteurs du secteur de la construction modulaire en bois, également connue sous le nom de construction industrialisée ou préfabriquée, de développer le savoir-faire dans le créneau des bâtiments à plusieurs étages et d’ainsi favoriser l’accès au marché nord-américain.

« Notre projet vise à aider les partenaires à accroître leurs exportations en solutionnant certains défis d’ingénierie qui rendront possible la construction d’édifices de grande hauteur, et en trouvant des réponses à différentes questions liées aux marchés d’exportation et aux projets immobiliers d’envergure », a expliqué le professeur Blanchet. « La préfabrication et l’industrialisation de la construction sont une réponse à plusieurs enjeux sociaux, notamment la création de valeur ajoutée au secteur forestier canadien, la création d’emplois dans les régions du Québec, l’augmentation de la productivité du secteur de la construction et une réduction de l’empreinte environnementale du secteur du bâtiment », a poursuivi le chercheur.

« Le CRSNG est fier de soutenir ce projet innovant réunissant l'Université Laval et plusieurs partenaires représentant les secteurs clé des matériaux à la construction, en passant par la conception, a déclaré le vice-président aux partenariats de recherche du CRSNG, Marc Fortin. Les résultats anticipés de cet effort de recherche et d’intégration sont prometteurs pour l’industrie canadienne du bâtiment, qui a une occasion de se développer et de croître dans le secteur prometteur et en pleine expansion de la construction industrialisée du multi-logement en hauteur. »

Pour Jérôme Jobin, membre du conseil d’administration de BOCA, la recherche sur la construction industrialisée est essentielle pour permettre aux manufacturiers québécois de se positionner et de profiter des opportunités dans le secteur du multi-logement au Canada et aux États-Unis : « BOCA est fière de soutenir ce programme auquel participent trois de nos membres, Maisons Laprise, Groupe Pro-Fab et Structures Ultratec. La région de Chaudière-Appalaches regroupe de nombreuses entreprises innovantes dirigées par des entrepreneurs visionnaires, dynamiques et prêts à s’investir.  Bref, des gens par qui passe le changement. »

« En appuyant ce projet de recherche, la SHQ veut demeurer un partenaire actif de l'innovation dans l'industrie de l'habitation et de la construction en bois. Déjà très impliquée dans Vision 2030, un ambitieux projet qui vise à repositionner l'industrie des bâtiments préfabriqués en bois pour en faire un créneau industriel à forte valeur ajoutée, il était tout naturel que la SHQ s'associe à cette nouvelle initiative », a déclaré le vice-président aux programmes de la SHQ, François Therrien.

« En s’impliquant dans cette initiative, les industriels de la préfabrication en Chaudière-Appalaches et Pro-Fab souhaitent contribuer à la croissance du secteur en favorisant les exportations et en stabilisant la saisonnalité de la production, a ajouté au nom des partenaires industriels le président-directeur général de Pro-Fab, Martin Roy. Cette démarche avec le créneau BOCA est cohérente avec les priorités identifiées dans le forum Vision 2030 sur l’avenir de la préfabrication. » 

« L’accord annoncé aujourd’hui est un bel exemple du dynamisme et du leadership qui animent notre Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique », a ajouté le vice-recteur exécutif, aux études et aux affaires étudiantes de l’Université Laval, Robert Beauregard. Cette initiative apportera des réponses et des solutions à une industrie florissante et favorisera le développement économique, tout en faisant la promotion du matériau durable qu’est le bois. » 

Source : Samuel Auger
Relations médias
Université Laval
418 656-2131, poste 8077
samuel.auger@dc.ulaval.ca


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Deux diplômés au doctorat en sciences du bois mis en valeur à la cérémonie des grades

18 juin 2018

Les parcours de Naamwin-So-Bâwfu Romaric Meda et Thibaud Geoffroy, diplômés au doctorat en sciences du bois, ont été mis en valeur dans le cadre d'un article paru dans le journal Le Fil de la communauté universitaire.  Voici l'extrait: "Le lendemain 10 juin, c’était au tour de deux finissants du doctorat en sciences du bois de recevoir leur précieux diplôme. Le premier, Naamwin-So-Bâwfu Romaric Meda, est originaire du Burkina Faso, alors que le second, Thibaud Geoffroy, vient de la France. Tous deux ont travaillé à la valorisation de produits de l’érable à sucre et de l’érable rouge autres que le sirop. Le premier a fait une thèse sur les propriétés du bourgeon qui peuvent avoir un intérêt, entre autres, pour la santé humaine et la production pharmaceutique; le deuxième a fait de même avec l’écorce. Comme eux, ce sont 10,7% des diplômés en 2017-2018 qui sont des étudiants étrangers ou des résidents permanents. Pour eux, la cérémonie se révèle parfois d’autant plus émouvante qu’elle constitue une scène d’adieu au Québec. «J’avais vraiment envie de vivre une cérémonie de collation des grades dans le style nord-américain, comme on en voit à la télévision, remarque Romaric Meda. Je suis ouvert à toutes les possibilités, mais j’envisage présentement un retour en Afrique. Le Québec va me manquer, mais je me considère comme un citoyen du monde.» De son côté, Thibaud Geoffroy était content de partager ce moment avec deux de ses collègues – dont Romaric Meda – sans lesquels, selon ses dires, il n’en serait pas là. «La cérémonie a été pour nous un moyen de célébrer l’aboutissement d’un peu plus de trois ans de dur labeur», déclare-t-il. Les deux nouveaux docteurs étaient particulièrement touchés que leurs familles respectives se soient déplacées d’Afrique et d’Europe pour vivre ce moment avec eux."

Notons que ces deux étudiants se trouvent également sur le tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures pour l'excellence de leurs résultats scolaires tout comme leur collègue Jean-Romain Roussel diplômés du doctorat en sciences forestières.

Lisez l'article complet Tourbillon d'émotions paru dans Le Fil

 

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FPInnovations, l’Université Laval et le CFL concluent des ententes afin de maximiser le potentiel d’innovation du secteur forestier

11 juin 2018

FPInnovations, le Centre de foresterie des Laurentides (CFL) de Ressources naturelles Canada, l’Université Laval et sa Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique sont heureux d’annoncer la signature d’ententes collaboratives visant à développer le plein potentiel d’innovation du secteur du bois et de la forêt. Cette nouvelle synergie opérationnelle est fondée notamment sur la complémentarité des forces de recherche et le partage des infrastructures et des laboratoires, et ce, afin de maximiser les retombées des investissements en recherche au bénéfice de la compétitivité du secteur forestier. Ce secteur devient par conséquent l’un des premiers secteurs à aligner ses efforts en matière d’innovation afin de relever les défis auxquels il fait face. 

L’annonce a été faite ce matin en présence de Stéphane Renou, président et chef de la direction de FPInnovations, de Sophie D’Amours, rectrice de l’Université Laval, de Denis Lebel, présidentdirecteur général du Conseil de l’industrie forestière du Québec, de Line Drouin, sous-ministre au ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, de Beth MacNeil, sous-ministre adjointe au Service canadien des forêts de Ressources naturelles Canada, de Jacinthe Leclerc, directrice générale du Centre de foresterie des Laurentides et de nombreux partenaires industriels. Elle fait suite à la relocalisation, au printemps dernier, des activités de FPInnovations et à la mise en commun d’efforts de recherche ciblés. [...] 

Entente avec l’Université Laval 

Pour leur part, FPInnovations et l’Université Laval mettront leur expertise en commun notamment dans les domaines du bâtiment, de la transformation du bois, des opérations forestières, de la foresterie autochtone, de la fabrication intelligente et des changements climatiques. Cette collaboration prend la forme d’une entente cadre totalisant 2,5 millions de dollars répartis sur une période de 10 ans en plus de l’optimisation du parc d’équipement qui, par la mise en commun des actifs de chaque partenaire, permet aux chercheurs de bénéficier d’un environnement de recherche de pointe. 

« En plus de partager avec FPInnovations le plus grand laboratoire en génie du bois dans l’est du Canada et des équipements de pointe, notre partenariat durable nous permettra d’avoir une vision commune et intégrée des projets de recherche qui seront développés en sciences du bois et de la forêt. Il contribuera aussi à faire avancer la science dans des domaines novateurs tels que la foresterie et les usines intelligentes. Grâce au nouveau fond, la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique pourra appuyer un plus grand nombre de projets étudiants, telle la participation à des activités de diffusion scientifique, des projets de recherche avec FPInnovations et la réalisation de stages, recruter de nouvelles têtes chercheuses de calibre mondial et attirer les meilleurs talents étudiants de partout dans le monde » mentionne Sophie D’Amours, rectrice de l'Université Laval.

De gauche à droite, Denis Lebel (président-directeur général du Conseil de l’industrie forestière au Québec), Beth MacNeil (sous-ministre adjointe, Ressources Naturelles Canada), Sophie D’Amours ( rectrice, Université Laval), Stéphane Renou (président et chef de la direction, FPInnovations), Jacynthe Leclerc (directrice générale, Centre de foresterie des Laurentides, Service canadien des forêts, Ressources naturelles Canada), Line Drouin (sous-ministre du ministère de la Faune, des Forêts et des Parcs).

 

Consultez le communiqué complet sur le mise en œuvre d’un nouveau modèle de synergie  pour le secteur du bois et de la forêt

Pour lire l'acticle dans lefil >>

 

 

 

 

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Félicitations aux diplômés de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique

11 juin 2018

C'est le 10 juin 2018 que les diplômés de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique ont participé à la cérémonie de la Collation des grades pendant laquelle l’Université Laval remet les diplômes officiels. Cette cérémonie souligne aussi tous les efforts investis par les étudiants tout au long de leur parcours universitaires. La direction de la Faculté et les directions des départements tiennent à féliciter les diplômés pour leur accomplissement et leur souhaitent la meilleure des chances dans leurs projets futurs. C'est 237 finissants de la Faculté qui ont reçu leur diplôme en 2017-2018 dans les domaines de l'environnement, de la foresterie, de la géomatique, de la géographie et de l'agroforesterie. De ceux-ci, 166 proviennent du baccalauréat, 48 de la maîtrise et 23 du doctorat. 

La rectrice, Mme Sophie D'Amours a mentionné : « tous les membres de la direction se joignent à moi pour souhaiter à toutes les finissantes et à tous les finissants une vie enrichissante et remplie d’expériences stimulantes à la hauteur de leurs talents et de leurs ambitions. Le diplôme de l’Université Laval les mènera loin, là où leurs idées se concrétiseront, là où leurs rêves se réaliseront ».

Félicitations encore une fois aux :

  • 98 diplômés du Département des sciences du bois et de la forêt
  • 62 diplômés du Département de géographie
  • 77 diplômés du Département des sciences géomatiques
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Deux étudiants de la Faculté participeront à un périple de 1 500 km en canot pendant 3 mois!

11 juin 2018

Guillaume Moreau, étudiant au doctorat en sciences forestières et Nicolas Roulx, étudiant à la maîtrise en sciences géographiques, à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique participent à l'expédition d'une vie dans le Grand Nord québécois. Ils parcourront 1 500 km en canot en trois mois. Ils seront 6 amis à vivre cette expérience unique et périlleuse partant de Schefferville sur la Côte-Nord jusqu'au village inuit de Nain, dans le nord-est du pays. 

"Leur expédition s’accompagne aussi d’un projet de recherche scientifique, alors que la troupe collectera des rondins pour mieux comprendre les effets des changements climatiques sur la croissance des arbres en région nordique. C’est Guillaume Moreau, doctorant en sciences forestières, qui sera responsable de la collecte et de l’analyse. « [Notre but], c’est aussi de faire comprendre aux gens l’importance de prendre soin de ces régions-là, qui sont extrêmement vulnérables aux changements climatiques. Même si c’est loin de nous, il y a des populations qui en subissent les conséquences », indique Nicolas Roulx. Le projet scientifique se fait en collaboration avec l’Université Laval." tiré de l'article de La Presse

Pour en savoir plus sur leur expédition :

Visitez le site Internet de l'Expédition AKOR  

Lisez l'article  Six amis, trois mois et 1500 kilomètres en canot paru dans La Presse

Et L'aventure d'une vie dans le Grand Nord québécois paru dans Le Soleil

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La Faculté participe à la journée « Échanges forestiers » à Rimouski destinée aux intervenants scolaires

25 mai 2018

L’Association forestière bas-laurentienne (AFBL), en collaboration avec le Cégep de Rimouski, tenaient ce jeudi la première présentation de la Journée « Échanges forestiers », un perfectionnement destiné aux intervenants du milieu scolaire, qui avait lieu sur le territoire de la Forêt d’enseignement et de recherche (FER) de Macpès du Cégep de Rimouski.​ La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique était présente pour informer les participants sur les formations permettant de devenir ingénieur forestier et ingénieur du bois.

Pour lire l'article complet paru dans le journal l'Avantage d'Alexandre D'Astous

 

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Luc Bouthillier estime que les entreprises doivent profiter de la hausse des prix pour améliorer leur productivité

25 mai 2018

Luc Bouthillier, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt élabore dans un reportage de Radio-Canada sur l'importance pour les entreprises forestières d'investir pour faire partie de l'économie de demain. Simon Roy, diplômé en aménagement et environnement forestiers de l'Université Laval, ingénieur forestier et directeur de la Coopérative forestière de la Matapédia présente également les investissements de plusieurs milions de dollars prévus pour aménager l'ex-scierie Cédrico de Sainte-Florence.

Pour voir le reportage complet de Radio-Canada: Coop forestière de la Matapédia : près de 18 M$ pour une nouvelle usine​

 

 

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Arts et sciences pour verdir Québec

17 mai 2018

Lancé en collaboration avec la Fondation David Suzuki, le Jour de la Terre et La Tribu, ce projet prend son envol à Québec. Concrètement, il prendra la forme d’un guichet unique destiné aux citoyens et aux entreprises désireux de verdir des terrains privés résidentiels, institutionnels, industriels et commerciaux.

En plus des arbres, les participants pourront bénéficier de l’expertise de chercheurs en foresterie. De fait, des comités scientifiques seront formés pour fournir des connaissances sur la plantation en milieu urbain. «La forêt urbaine comprend des défis qui lui sont propres, notamment en raison de la pauvreté des sols. Souvent, les terrains en ville sont de très mauvaise qualité. De plus en plus, les citoyens s’impliquent pour reverdir certains quartiers et augmenter la couverture arborescente de leur ville, mais on assiste à des échecs de plantations. L’expertise de nos chercheurs sera donc très utile», indique Louis Bernier, codirecteur du Centre d’étude de la forêt.

Lire l'article complet paru dans Le Fil

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380 000$ pour la recherche sur la bioénergie forestière

11 mai 2018

Evelyne Thiffault, professeure-chercheure du Département des sciences du bois et de la forêt a obtenu plus de 380 000$ en subventions de recherche à l'issue du 1er concours du Programme de recherche en partenariat sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

« En appuyant ces projets de recherche, le gouvernement du Québec réitère son engagement à soutenir l'innovation. De plus, ces initiatives favoriseront la mobilisation et la collaboration entre les entreprises et la communauté scientifique, collégiale et universitaire par l'établissement de partenariats visant le développement de solutions en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Elles assureront aussi la formation d'une relève scientifique et de spécialistes, ce dont le Québec a besoin pour assurer son développement durable. » a mentionné Mme Dominique Anglade, vice‑première ministre, ministre de l'Économie, de la Science et de l'Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique.

Consultez les détails des résultats de projets subventionnés dans le cadre du Programme de recherche en partenariat sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

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Un peu d'amour pour les «arbres mal-aimés»

10 mai 2018

On a souvent l’impression que nos forêts sont exploitées au maximum de leur capacité, sinon à surcapacité — et cela a certainement déjà été le cas. Mais ce n’est pas vrai du tout pour les feuillus, qui ne sont même pas exploités à la moitié de ce que la forêt serait capable de fournir, a trouvé une étude présentée mercredi au congrès de l’ACFAS.

Lire l'article complet de Jean-François Cliche du journal Le Soleil

Étudiante à la maîtrise à l’Université Laval sous la direction d’Évelyne Thiffault, Claude Durocher explique une partie de ses travaux dans cet article. L'objectif de sa maîtrise est de développer des modèles statistiques à base de données empiriques pour estimer la partie de la fibre qui pourrait être allouée aux biocarburants liquides. Cette part sera évaluée en fonction de la matière ligneuse généralement attribuée pour des produits ligneux courants selon les caractéristiques du peuplement et des arbres qui le constitue. Les modèles seront liés spatialement en prenant compte des aménagements effectués ainsi que des contraintes écologiques du milieu.

Apprenez-en plus sur le contenu de sa maîtrise portant sur quantification des bois mal-aimés dans la production de biocarburants.

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Coup de "pousse" aux forêts

09 mai 2018

Evelyne Thiffault, professeure au Département des sciences du bois et de la forêt a participé à une capsule scientifique sur Ici Explora pour expliquer une partie de ses travaux de recherche réalisés, entre autres, à la Forêt Montmorency, forêt d'enseignement et de recherche de l'Université Laval. Il s'agit de comprendre quelles pratiques forestières on devrait faire pour favoriser la séquestration de carbone dans les forêts et améliorer les pratiques d’aménagement forestier au Québec en contribuant à la lutte aux changements climatiques.

Visionnez la capsule Coup de "pousse" aux forêts sur Ici Explora

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Revaloriser le bois « mal-aimé » de nos forêts

07 mai 2018

Évelyne Thiffault, professeure-chercheure à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique explique le potentiel des résidus du bois laissés sur place lors des coupes forestières. Vous pouvez lire le texte paru sur le site de Radio-Canada et visionner le reportage télévisé complet diffusé lundi 7 mai au Téléjournal de Radio-Canada.

Seule une partie de la forêt est exploitée : on coupe les arbres principalement pour le bois de sciage et on utilise les résidus pour produire de la pâte à papier. Mais la majorité de la ressource forestière est laissée sur place. Ce sont parfois des espèces inintéressantes, comme c’est le cas pour le hêtre et le bouleau blanc. D’autres fois, le bois ne respecte tout simplement pas les normes de qualité; il est trop sec, trop petit, fissuré, pourri ou encore atteint par des champignons ou des insectes.

Cette catégorie peu attrayante pour l’industrie est surnommée le « bois mal-aimé ». Depuis toujours, ces arbres, ou parties d’arbres, en abondance dans nos forêts sont volontairement oubliés, relate l’ingénieure forestière Évelyne Thiffault. « Mais vu qu’on en a une abondance et que l'on comprend de plus en plus l’importance des produits du bois dans la lutte contre les changements climatiques, on se met à les regarder différemment pour voir si on est capable de les valoriser pour en faire différents produits », ajoute-t-elle.

Lire le texte et le reportage de Danny Lemieux, de Découverte

 

 

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Rencontre sous le signe de la foresterie autochtone

07 mai 2018

La Chaire de leadership en enseignement (CLE) en foresterie autochtone, qui vise à former les ingénieurs forestiers aux réalités autochtones, a tenu, le 10 avril à Wemotaci, la 8e rencontre de la Table des partenaires. En plus d’accueillir un nouveau partenaire, la communauté crie d’Oujé-Bougoumou, cette initiative a permis de rassembler une trentaine de représentants d’organisations provenant de diverses communautés autochtones, des gouvernements, du secteur forestier et de l’Université Laval. 

L’avancement de plusieurs projets de recherche a été présenté. Des conférenciers ont aussi abordé des sujets comme l’approche socioécologique de la forêt des Innus de Pessamit et les enjeux de la production de bois dans les pourvoiries d’Essipit. La CLE en foresterie autochtone, rappelons-le, a été lancée officiellement en septembre dernier. Son titulaire est Jean-Michel Beaudoin, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt.

Relisez l’article du Fil qui porte sur le lancement de la CLE l’automne dernier.

 

 

 

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Nouveau bidiplôme à la maîtrise professionnelle en sciences forestières

24 avril 2018

Une opportunité unique vous est offerte! Il est maintenant possible d’obtenir un double diplôme à la maîtrise professionnelle en sciences forestières de l’Université Laval et au Master Biodiversité, Écologie et Évolution de l’Université de Bordeaux en France. La maîtrise bi-diplômante permet aux meilleurs étudiants de compléter une formation de premier plan sur la scène internationale en bénéficiant des ressources de deux universités renommées pendant leurs études.

La gamme des situations étudiées et des échelles d'actions de part et d’autre de l’Atlantique apportera aux diplômés un avantage notable concernant la gestion et la conservation des écosystèmes, l’évaluation de la qualité des milieux naturels, la protection des milieux humides et la gestion durable des milieux forestiers tempérés et boréaux. Le programme inclut deux stages en milieu de travail (en France et au Canada). De plus, le Bureau international de l’Université Laval offre à ses étudiants une bourse de mobilité de 6000$ pour les deux sessions du parcours bi-diplômant à l’étranger (seuls les étudiants détenant le statut de résident du Québec sont admissibles à la bourse).

Ça vous intéresse?

Découvrez le bidiplôme de maîtrise en sciences forestières de l’Université Laval.

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Identifier les arbres par leur écorce

23 avril 2018

Les inventaires forestiers à l’aide de drones et la robotisation des opérations en forêt ou en usine seraient grandement facilités s’il existait un système de reconnaissance automatique des espèces d’arbres à partir d’images. Une équipe du Département d’informatique et de génie logiciel vient de faire une avancée significative dans le domaine en développant un système permettant d’identifier avec une efficacité de 98% les espèces les plus courantes au Québec à partir de photos de leur écorce.

Extrait de l'article de Jean Hamann paru dans lefil. Pour lire l'article intégral >>

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Le Jardin de Colette parmi les meilleurs endroits pour étudier!

19 avril 2018

Selon Impact Campus, la liaison du jardin de Colette entre les pavillons Abitibi-Price et Gene-H.-Kruger est un petit coin tropical rempli de chlorophylle où c'est idéal pour étudier. "Lumineux et assez humide, cet endroit compte huit places assisses SANS prises électriques. Évidemment, il n’y a pas de restrictions quant aux breuvages ou aux collations. On constate peu de passage, donc c’est raisonnable pour garder sa concentration. Avec la semaine de mauvais temps qu’on annonce pour la fin de session, cet endroit peut être une option intéressante pour étudier" mentionne Alice Beaubien, directrice de la photographie chez Impact Campus.

Pour voir le photo-reportage complet, Les meilleurs endroits où étudier sur le campus

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Remise des joncs d’ingénieurs forestiers : une soirée marquante pour nos finissants

17 avril 2018

La cérémonie de remise des joncs de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec (OIFQ), qui a eu lieu vendredi 13 avril dernier, fut un succès et a permis de couronner les quatre années d’études des finissants en foresterie de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval. Cette soirée permet de marquer le passage des études vers la future vie professionnelle et souligner l’investissement et les efforts réalisés tout au long de leur cheminement académique menant à la profession d’ingénieur forestier. Le doyen de la Faculté, M. Guy Mercier et le président de l’OIFQ, M. François Laliberté ont souligné cet accomplissement important lors de leur allocution respective.

Les étudiants du baccalauréat en aménagement et environnement forestiers et du baccalauréat coopératif en opérations forestières ont pu recevoir leurs joncs en présence de leur famille, ami(e)s, professeurs et ont même reçu un message vidéo de félicitations de la part du ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, M. Luc Blanchet et du premier ministre, M. Philippe Couillard.

La cohorte des finissants de 2018 est la plus importante depuis près de 10 ans! La relève d'ingénieurs forestiers sera au rendez-vous!

Lors de cette soirée, Émilie St-Jean a reçu le prix de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec, Alexandre Morin-Bernard s’est mérité la médaille de l'Institut forestier du Canada et une mention spéciale a été faite pour mentionner que le Prix Rayonnement de la Faculté avait été remis à Marius Legendre.

    

 

 

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Femmes des bois

10 avril 2018

Deux diplômées de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, Mathilde et Camille, ont pris l'initiative de créer une page Facebook dans le cadre du mois de l’arbre et des forêts (mai 2018), afin d'offrir un ensemble de publications sur leur vision de la foresterie au Québec. Tout au long du mois de mai 2018, elles publieront sur différents sujets. Elles ont la forêt à cœur et invite les hommes et femmes à partager, interagir et discuter sur la forêt!

Nous vous invitons à découvrir leur page si vous avez envie d’en connaitre un peu plus sur :

  • La forêt comme écosystème;
  • Les bienfaits de la forêt et des arbres;
  • Les enjeux forestiers de l’heure;
  • Le métier d’ingénieur forestier.
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Se bâtir une vie au Québec

10 avril 2018

Découvrez le profil de Marius Legendre, étudiant français et finissant en aménagement et environnement forestiers de l'Université Laval. Le journal Le Monde forestier a publié son expérience dernièrement. Parfois , on fait quelques choix et la vie s'occupe du reste. C'est un peu le scénario vécu par Marius Legendre, étudiant en aménagement et environnement forestiers qui s'apprête à commencer une carrière comme ingénieur forestier à la Coopérative forestière Nord-Côtière.

Voir l'article complet Se bâtir une vie au Québec par Stéphane Bourque, journal Le Monde forestier.

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La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique remet ses Prix Enseignement 2018 et plus de 727 000 $ en bourses à ses étudiants

28 mars 2018

Le jeudi 22 mars 2018 avait lieu la cérémonie annuelle de remise des bourses et des prix de la Faculté. En plus du prix Enseignement remis à Mme Danièle Bélanger, professeure titulaire au Département de géographie, et à M. Yves Brousseau, responsable de formation pratique au Département de géographie, e vice-recteur adjoint aux études et affaires étudiantes, M. Claude Savard, le doyen de la Faculté, M. Guy Mercier, la vice-doyenne aux études, Mme Nancy Gélinas, et le vice-doyen à la recherche, M. Stéphane Roche, ont souligné le mérite de 102 étudiants qui sont repartis avec plus de 727 000 $ en bourses et prix durant la soirée. Pour voir la liste des boursiers 2017-2018 >>

Le doyen a tenu à remercier tous les partenaires de la Faculté grâce à qui ces bourses ont pu être accordées. Les dons et les fonds créés par les donateurs permettent d’encourager l’excellence et l’engagement des étudiants aux trois cycles d’études et favorisent grandement leur persévérance. Le doyen a vivement salué l’arrivée de nouveaux donateurs.

Au cours de la cérémonie, trois finissants de premier cycle ont aussi reçu le prix Rayonnement de la Faculté pour leur participation remarquable à la vie étudiante, leur engagement dans leur futur milieu professionnel ou leur contribution significative à la promotion de leur domaine d’études auprès des jeunes ou du grand public. Les récipiendaires de chacun des trois départements de la Faculté sont :

  • M. Marius Legendre, finissant au baccalauréat en aménagement et environnement forestiers
  • M. Étienne Dallaire, finissant au baccalauréat en sciences géomatiques
  • Mme Ana-Brigitte Poveda finissante au baccalauréat en géographie

Le doyen de la Faculté a rappelé à tous, étudiants, employés, diplômés, partenaires et amis de la FFGG, l’importance de contribuer aux différents fonds et projets de la Faculté. Riche d’une tradition plus que centenaire et de programmes uniques au Québec, la Faculté possède tous les atouts pour développer une grande culture philanthropique.

Pour information : ffgg@ffgg.ulaval.ca

Pour faire un don : http://www2.ulaval.ca/fondation/faire-un-don/

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Le rassemblement des géographes : congrès IGU2018

27 mars 2018

À l’initiative de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval, la ville de Québec accueillera, du 6 au 10 août 2018, le congrès de l’Union géographique international. Il s’agira du plus grand rassemblement international de géographes de l’histoire du Canada. À cette occasion, 3 000 spécialistes du monde entier se réuniront dans la Vieille Capitale pour échanger sur les plus récentes avancées scientifiques dans leur discipline. La jeunesse sera également mise à l’honneur, car le programme du congrès comprend la tenue de la 15e Olympiade internationale de géographie du 31 juillet au 6 août qui aura lieu sur le campus de l’Université Laval. En se mesurant amicalement dans des épreuves scientifiques, 200 jeunes géographes de 16 à 19 ans, provenant de cinquante pays du monde, feront valoir leur compétence et leur motivation.

Le thème général du congrès, « Apprécier la différence », invite à mettre en évidence toute la diversité humaine et naturelle, qui confère à notre monde contemporain sa complexité et ses nombreuses potentialités. Les défis planétaires actuels nous amènent à adopter une vision plus intégrée des relations entre l’être humain et le territoire. Analyser les enjeux économiques, sociaux et environnementaux dans une perspective durable et globale est aujourd’hui d’une urgente nécessité. La géographie, pour sa part, en a fait un pilier de sa mission.

Inscrivez-vous dès aujourd’hui pour prend part au grand rassemblement des géographes !

Profitez du tarif régulier de 645$ avant le 31 mai. Par la suite le tarif de 700$ sera applicable.

Pour présenter vos recherches, soumettez votre résumé avant le 2 avril !

Au plaisir de vous y voir !

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Projet conjoint avec le Japon sur les forêts urbaines

26 mars 2018

Une délégation d’étudiants japonais a passé les deux  jours (21-22 mars 2018) au Collège des Compagnons dans le cadre d’un projet conjoint sur les forêts urbaines. En plus d’un échange culturel, les Japonais devaient visiter des organismes en lien avec la foresterie et de faire un échange sur des résultats de recherches effectuées par les deux groupes de jeunes au sein des forêts de leur école. Les jeunes des deux écoles ont échangé sur le thème de la forêt autour de leur école respective. Ils ont visité les laboratoires de la faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval.

Extrait de l'article paru sur www.lappel.com >>

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Aide financière de 650 000 $ accordée à l'Université Laval pour soutenir la formation en construction bois

26 mars 2018

Le Gouvernement du Québec accorde une aide financière de 650 000 $ à l'Université Laval pour la mise sur pied des Chaires de leadership en enseignement (CLE) en conception de structures durables en bois et en construction intégrée en bois. L'annonce a été faite par le ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, M. Luc Blanchette, en présence de la rectrice de l'Université Laval, Mme Sophie D'Amours. Le Programme des Chaires de leadership en enseignement de l'Université Laval sera utilisé pour engager deux nouveaux professeurs titulaires spécialisés dans la construction en bois, dont la professeure Xiaodong Wang. Son engagement permettra la création d'un nouveau cours de premier cycle en enveloppe du bâtiment.

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Texte tiré de www.newswire.ca
© Photos : Stéphane Groleau

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Toutes nos félicitations à Mme Danièle Bélanger et à M. Yves Brousseau, récipiendaires du prix Enseignement de la FFGG!

26 mars 2018

Le prix Enseignement de la FFGG - 2018 a été remis à Mme Danièle Bélanger, professeure au Département de géographie (catégorie professeur), et à M. Yves Brousseau, responsable de formation pratique au Département de géographie (catégorie chargé de cours et autre personnel enseignant).

Cet honneur souligne leur contribution exceptionnelle en enseignement à tous les cycles d’études ainsi que la passion et l’enthousiasme qui les animent à partager leurs connaissances avec les étudiants. Le prix leur a été décerné le jeudi 22 mars dernier, lors de la Cérémonie de remise des bourses et des prix de la Faculté, en présence de plus de cent trente personnes, dont le vice-recteur adjoint aux études et aux affaires étudiantes, M. Claude Savard, la vice-doyenne aux études de la Faculté, Mme Nancy Gélinas, et le vice-doyen à la recherche de la Faculté, M. Stéphane Roche, ainsi que les étudiants boursiers, professeurs et représentants d’organismes partenaires de la Faculté.

Le prix Enseignement de la FFGG vise à reconnaître publiquement la distinction, par l’excellence de son enseignement, d’un professeur, d’un responsable de formation pratique, d’un responsable de travaux pratiques, d’un chargé de cours ou d’un chargé d’enseignement de la Faculté.

Félicitations à Mme Bélanger et à M. Brousseau!

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Regards croisés sur la forêt

16 mars 2018

Immenses, majestueuses, parsemées de milliers de lacs et de rivières, habitat de centaines d’espèces animales, les forêts couvrent près de la moitié du territoire québécois, soit 761 000 kilomètres carrés. Cet univers complexe et fascinant joue un rôle de premier plan du point de vue économique, social ou environnemental avec ses ressources naturelles, ses écosystèmes, ses sites d’intérêt et ses paysages exceptionnels.

Pour lire la suite, consultez Le Fil, le journal de la communauté universitaire, 15 mars 2018

Photo: Forêt Montmorency

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Un monde sans frontières-Salon de la forêt 2018

15 mars 2018

La forêt et ses multiples facettes seront à l'honneur lors du 39e Salon de la forêt, le 17 et le 18 mars prochain. Toute la fin de semaine durant, le pavillon Alphonse-Desjardins aura des airs forestiers. Étudiants, chercheurs, praticiens, artistes et de nombreuses autres personnes qui travaillent de près ou de loin avec la forêt investiront les lieux pour participer à une série d’activités. Organisé par une vingtaine d’étudiants bénévoles de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, le Salon de la forêt est un événement annuel qui a pour but de faire découvrir la richesse de ce milieu.

Le thème de cette année, d’ailleurs, est «Les mille et une possibilités de la forêt». «La forêt, c’est beaucoup plus que de la coupe de bois! Le Salon vise à détruire certains préjugés et renseigner le grand public sur les nombreuses activités qui s’y font, que ce soit la recherche, la récréation, l’aménagement forestier ou la conservation de la faune», explique Virginie Houle, étudiante au baccalauréat en aménagement et environnement forestiers et vice-présidente de la Semaine des sciences forestières, qui chapeaute l’événement.

En tout, une trentaine d’exposants seront sur place pour partager leur passion et répondre aux questions. La Forêt Montmorency, le Centre d’études de la forêt et l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec, entre autres organisations, seront représentés. Des conférences porteront sur l’ornithologie, la mycologie, le crédit carbone, le liège naturel des chênes et les mycorhizes. Des étudiants animeront des ateliers d’identification des arbres et inviteront les curieux à manipuler des instruments et des outils de mesure utilisés dans le milieu forestier.

Lire la suite de l'article tiré du Fil par Matthieu Dessureault

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Des extraits d’écorce d’érable au menu?

15 mars 2018

Une étude révèle la présence de plusieurs composés d'intérêt alimentaire dans l'écorce de ces arbres. Lorsqu’il est question de nourriture et d’érable, de joyeuses images de sirop, de tire et de sucre viennent aussitôt à l’esprit. À cette liste, faudra-t-il un jour ajouter l’écorce d’érable? On pourrait le croire à en juger par un article que des chercheurs de l’Université Laval viennent de publier dans la revue Plant Foods for Human Nutrition.

Lire l'article complet de Jean Hamann paru dans lefil >>

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Le temps des arbres migrateurs

06 mars 2018

Il n’est pas trop tôt pour envisager le recours à la migration assistée pour s’assurer que les épinettes blanches mises en terre aujourd’hui grandissent dans un milieu qui sera au diapason de leurs besoins climatiques dans 50 ans. En fait, certaines épinettes issues de vergers à graines du Québec ont déjà une meilleure croissance lorsqu’on les plante dans des sites qui se trouvent au nord de leur lieu de provenance. C’est ce que révèle une étude publiée dans un récent numéro de la revue Frontiers in Plant Science par des chercheurs de l’Université Laval et du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs.

Extrait issu de l'article de Jean Hamann paru dans lefil >>
Photo: Abdallah

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La richesse de la forêt Montmorency

20 février 2018

Située à 70  km au nord de Québec, la forêt Montmorency est, depuis son affiliation à l’Université Laval en 1964, un lieu d’excellence pour l’enseignement, la recherche et l’éducation du public. Considérée comme la plus grande forêt universitaire au monde, avec ses 412  km2, elle stimule l’intérêt des petits et des grands grâce à son cadre enchanteur et à la richesse de sa biodiversité. Quant aux diplômés qui y ont reçu une partie de leur formation, ils conservent un grand attachement à cet espace naturel.

Au début de 2016, la Forêt Montmorency a lancé une vaste initiative de modernisation de ses infrastructures d’exploitation, d’accueil et de recherche afin d’assurer la continuité de ses missions et d’accroître sa capacité d’innovation. Dans ce contexte, la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) a créé le Fonds de la Forêt Mont­morency, recueillant les dons de ceux et celles qui souhaitent soutenir ce projet et exprimer leur attachement à la forêt.

(Extrait de l'article de Catherine Gagné paru dasn le magazine Contact)

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Concours photo - Les mille et une possibilités de la forêt

14 février 2018

La Semaine des sciences forestières organise un concours photo qui a pour thème Les mille et une possibilités de la forêt. Les 20 photos finalistes du concours seront affichées pour toute la durée du Salon de la forêt, les 17 et 18 mars 2018, et les gagnants se mériteront un prix!

Date limite: 1er mars.

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Article dans lefil sur les recherches d'André Desrochers: «Le lièvre est en retard »

13 février 2018

Choisir la file d’attente dans laquelle nous nous installons au supermarché est un exercice stratégique. La caisse rapide, qui semble souvent l’option la plus intéressante, devient moins attrayante si 10 personnes y font le pied de grue. Entre une file qui compte 1 personne et une autre qui en a 3, on préférera la première, à moins que la personne qui s’y trouve ait plus de produits dans son panier que les trois autres clients réunis. Et on n’hésitera pas à revoir ses plans si une file avance plus rondement que la nôtre. Bref, chacun y va de ses trucs pour choisir la file dans laquelle il vaut mieux se trouver. Les lièvres font inconsciemment des calculs similaires quand vient le temps de choisir entre différents habitats, sauf que, dans leur cas, la réponse aux changements de leurs effectifs n’est pas instantanée, comme la nôtre au supermarché, mais elle s’échelonne sur au moins un an. C’est ce que démontrent Toshinori Kawaguchi et André Desrochers
, du Département des sciences du bois et de la forêt et du Centre d’étude de la forêt, dans un récent numéro de la revue PLOS ONE.

Extrait de l'article de Jean Hamann paru dans lefil. Lisez l'intégralité du texte  >>
 

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«Le génie qui touche du bois»

02 février 2018

Le génie du bois à fêté ses quinze ans en 2017. La revue PLAN de l’Ordre des ingénieurs du Québec souligne cet anniversaire en résumant trios grandes étapes de l'évolution de cette discipline. Lisez le texte de J.-P. Gilbert (résumé par François Rouleau).

Extrait de la revue PLAN, Volume LIV Numéro 7, Janvier-Février 2018

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Inscrivez-vous à notre formation en ligne gratuite sur le développement durable : enjeux et trajectoires

12 janvier 2018

Les inscriptions au MOOC (Massive Online Open Course): Développement durable: enjeux et trajectoires sont maintenant commencées. Cette formation en ligne ouverte à tous est une formation à distance de niveau universitaire gratuite, mais non créditée. Elle propose une réflexion sur le développement durable et la prise de conscience de ses enjeux sous des perspectives historiques, environnementales et socio-économiques. Cette formation sera en ligne du 29 janvier au 26 mars 2018.

L'Université offre ainsi à un nombre illimité de participants de partout dans le monde la possibilité d'élargir leurs connaissances sur le développement durable.

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