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Actualités

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À l’affût de l’agrile du frêne

10 juillet 2018

Cet insecte ravageur fait l'objet d'un dépistage soutenu sur le campus cet été. Avez-vous remarqué ces étranges structures ressemblant à un empilement d’entonnoirs lié à de longues cordes qui ont fait leur apparition dans certains arbres du campus? Il s’agit de pièges pour l’agrile du frêne, un insecte asiatique qui, depuis quelques années, fait des ravages dans les populations de frênes en Amérique du Nord. Le campus de l’Université Laval est l’un des sites où le Service canadien des forêts a déployé des pièges qui servent à capturer cet insecte afin de suivre sa progression dans la région de Québec. [...] 

L’automne dernier, un inventaire réalisé pour le compte du comité de gestion de l’agrile du frêne de l’Université Laval par Nicolas Legault, étudiant au Département des sciences du bois et de la forêt, a établi que le campus abrite plus de 3 000 frênes. «Pour 2018, nos efforts portent sur la détection de l’insecte et sur le repérage des frênes remarquables qui pourraient faire l’objet d’un traitement préventif à l’aide de l’insecticide TreeAzin», souligne Guy Bussières, membre du comité et responsable de travaux pratiques et de recherche au Département des sciences du bois et de la forêt.

Lisez l'article complet sur l'agrile du frêne, par Jean Hamann, paru dans Le Fil.

Photo: Service canadien des forêts

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La nature sur grand écran

10 juillet 2018

À une époque où tout le monde a les yeux rivés sur son téléphone cellulaire, l’idée de décrocher quelques heures de ce sacro-saint appareil pour s’immerger dans un autre monde peut représenter une source d’angoisse pour plusieurs personnes. Et si on relevait la tête pour contempler la nature sur grand écran? C’est cette expérience que vous propose de vivre l’équipe des naturalistes de la Forêt Montmorency. En vedette de ce spectacle musical dont vous vous souviendrez longtemps: la faune de la sapinière à bouleau blanc de la Forêt Montmorency, située à moins de 70 km de Québec. [...]

Il existe évidemment d’autres façons de découvrir la forêt boréale que la manière artistique. Par exemple, l’activité «De la forêt à l’assiette» s’adresse à ceux et à celles que l’aspect culinaire intéresse. Accompagnés par Stéphane Plante, chargé de cours en botanique forestière à l’Université, les gens participent à une randonnée en forêt au cours de laquelle ils apprennent à démystifier certaines plantes du terroir boréal. Après le dîner à la cafétéria, où un mets boréal est à l’honneur, suit une démonstration d’extraction d’huile essentielle, animée par Bernard Riedl, professeur de chimie associé au Département des sciences du bois et de la forêt.

Lisez l'article complet par Renée Larochelle, paru dans Le Fil.