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Actualités

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La Faculté participe à la journée « Échanges forestiers » à Rimouski destinée aux intervenants scolaires

25 mai 2018

L’Association forestière bas-laurentienne (AFBL), en collaboration avec le Cégep de Rimouski, tenaient ce jeudi la première présentation de la Journée « Échanges forestiers », un perfectionnement destiné aux intervenants du milieu scolaire, qui avait lieu sur le territoire de la Forêt d’enseignement et de recherche (FER) de Macpès du Cégep de Rimouski.​ La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique était présente pour informer les participants sur les formations permettant de devenir ingénieur forestier et ingénieur du bois.

Pour lire l'article complet paru dans le journal l'Avantage d'Alexandre D'Astous

 

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Luc Bouthillier estime que les entreprises doivent profiter de la hausse des prix pour améliorer leur productivité

25 mai 2018

Luc Bouthillier, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt élabore dans un reportage de Radio-Canada sur l'importance pour les entreprises forestières d'investir pour faire partie de l'économie de demain. Simon Roy, diplômé en aménagement et environnement forestiers de l'Université Laval, ingénieur forestier et directeur de la Coopérative forestière de la Matapédia présente également les investissements de plusieurs milions de dollars prévus pour aménager l'ex-scierie Cédrico de Sainte-Florence.

Pour voir le reportage complet de Radio-Canada: Coop forestière de la Matapédia : près de 18 M$ pour une nouvelle usine​

 

 

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Arts et sciences pour verdir Québec

17 mai 2018

Lancé en collaboration avec la Fondation David Suzuki, le Jour de la Terre et La Tribu, ce projet prend son envol à Québec. Concrètement, il prendra la forme d’un guichet unique destiné aux citoyens et aux entreprises désireux de verdir des terrains privés résidentiels, institutionnels, industriels et commerciaux.

En plus des arbres, les participants pourront bénéficier de l’expertise de chercheurs en foresterie. De fait, des comités scientifiques seront formés pour fournir des connaissances sur la plantation en milieu urbain. «La forêt urbaine comprend des défis qui lui sont propres, notamment en raison de la pauvreté des sols. Souvent, les terrains en ville sont de très mauvaise qualité. De plus en plus, les citoyens s’impliquent pour reverdir certains quartiers et augmenter la couverture arborescente de leur ville, mais on assiste à des échecs de plantations. L’expertise de nos chercheurs sera donc très utile», indique Louis Bernier, codirecteur du Centre d’étude de la forêt.

Lire l'article complet paru dans Le Fil

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380 000$ pour la recherche sur la bioénergie forestière

11 mai 2018

Evelyne Thiffault, professeure-chercheure du Département des sciences du bois et de la forêt a obtenu plus de 380 000$ en subventions de recherche à l'issue du 1er concours du Programme de recherche en partenariat sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

« En appuyant ces projets de recherche, le gouvernement du Québec réitère son engagement à soutenir l'innovation. De plus, ces initiatives favoriseront la mobilisation et la collaboration entre les entreprises et la communauté scientifique, collégiale et universitaire par l'établissement de partenariats visant le développement de solutions en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Elles assureront aussi la formation d'une relève scientifique et de spécialistes, ce dont le Québec a besoin pour assurer son développement durable. » a mentionné Mme Dominique Anglade, vice‑première ministre, ministre de l'Économie, de la Science et de l'Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique.

Consultez les détails des résultats de projets subventionnés dans le cadre du Programme de recherche en partenariat sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

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Un peu d'amour pour les «arbres mal-aimés»

10 mai 2018

On a souvent l’impression que nos forêts sont exploitées au maximum de leur capacité, sinon à surcapacité — et cela a certainement déjà été le cas. Mais ce n’est pas vrai du tout pour les feuillus, qui ne sont même pas exploités à la moitié de ce que la forêt serait capable de fournir, a trouvé une étude présentée mercredi au congrès de l’ACFAS.

Lire l'article complet de Jean-François Cliche du journal Le Soleil

Étudiante à la maîtrise à l’Université Laval sous la direction d’Évelyne Thiffault, Claude Durocher explique une partie de ses travaux dans cet article. L'objectif de sa maîtrise est de développer des modèles statistiques à base de données empiriques pour estimer la partie de la fibre qui pourrait être allouée aux biocarburants liquides. Cette part sera évaluée en fonction de la matière ligneuse généralement attribuée pour des produits ligneux courants selon les caractéristiques du peuplement et des arbres qui le constitue. Les modèles seront liés spatialement en prenant compte des aménagements effectués ainsi que des contraintes écologiques du milieu.

Apprenez-en plus sur le contenu de sa maîtrise portant sur quantification des bois mal-aimés dans la production de biocarburants.

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Coup de "pousse" aux forêts

09 mai 2018

Evelyne Thiffault, professeure au Département des sciences du bois et de la forêt a participé à une capsule scientifique sur Ici Explora pour expliquer une partie de ses travaux de recherche réalisés, entre autres, à la Forêt Montmorency, forêt d'enseignement et de recherche de l'Université Laval. Il s'agit de comprendre quelles pratiques forestières on devrait faire pour favoriser la séquestration de carbone dans les forêts et améliorer les pratiques d’aménagement forestier au Québec en contribuant à la lutte aux changements climatiques.

Visionnez la capsule Coup de "pousse" aux forêts sur Ici Explora

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Revaloriser le bois « mal-aimé » de nos forêts

07 mai 2018

Évelyne Thiffault, professeure-chercheure à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique explique le potentiel des résidus du bois laissés sur place lors des coupes forestières. Vous pouvez lire le texte paru sur le site de Radio-Canada et visionner le reportage télévisé complet diffusé lundi 7 mai au Téléjournal de Radio-Canada.

Seule une partie de la forêt est exploitée : on coupe les arbres principalement pour le bois de sciage et on utilise les résidus pour produire de la pâte à papier. Mais la majorité de la ressource forestière est laissée sur place. Ce sont parfois des espèces inintéressantes, comme c’est le cas pour le hêtre et le bouleau blanc. D’autres fois, le bois ne respecte tout simplement pas les normes de qualité; il est trop sec, trop petit, fissuré, pourri ou encore atteint par des champignons ou des insectes.

Cette catégorie peu attrayante pour l’industrie est surnommée le « bois mal-aimé ». Depuis toujours, ces arbres, ou parties d’arbres, en abondance dans nos forêts sont volontairement oubliés, relate l’ingénieure forestière Évelyne Thiffault. « Mais vu qu’on en a une abondance et que l'on comprend de plus en plus l’importance des produits du bois dans la lutte contre les changements climatiques, on se met à les regarder différemment pour voir si on est capable de les valoriser pour en faire différents produits », ajoute-t-elle.

Lire le texte et le reportage de Danny Lemieux, de Découverte

 

 

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Rencontre sous le signe de la foresterie autochtone

07 mai 2018

La Chaire de leadership en enseignement (CLE) en foresterie autochtone, qui vise à former les ingénieurs forestiers aux réalités autochtones, a tenu, le 10 avril à Wemotaci, la 8e rencontre de la Table des partenaires. En plus d’accueillir un nouveau partenaire, la communauté crie d’Oujé-Bougoumou, cette initiative a permis de rassembler une trentaine de représentants d’organisations provenant de diverses communautés autochtones, des gouvernements, du secteur forestier et de l’Université Laval. 

L’avancement de plusieurs projets de recherche a été présenté. Des conférenciers ont aussi abordé des sujets comme l’approche socioécologique de la forêt des Innus de Pessamit et les enjeux de la production de bois dans les pourvoiries d’Essipit. La CLE en foresterie autochtone, rappelons-le, a été lancée officiellement en septembre dernier. Son titulaire est Jean-Michel Beaudoin, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt.

Relisez l’article du Fil qui porte sur le lancement de la CLE l’automne dernier.